Les patients sont des pervers è__é [Ayaka]

Un chieur savait toujours s’occuper. Vous vouliez une preuve ? Demandons donc au plus grand specimen chieur du coin (et aussi au plus beau, au plus fort, au plus classe, en un mot : au plus parfait. Ou au parfait tout simplement). Ce matin, le grand Shota, parce qu’il n’était pas petit mais qu’en plus il était grand à la façon d’Alexandre, s’était levé avec une idée merveilleuse dans la tête. Et une idée merveilleuse dans la tête pour un chieur comme lui… ça se résumait probablement à faire quelque chose qui n’amuserait pas tout le monde, mais qui l’amuserait beaucoup lui. Quelque chose de con en d’autres termes. Se levant donc rapidement, il n’avait pas fait de gros bisou à son camarade de chambre. Parce qu’un muet c’était dangereux, mais aussi parce qu’il aimait les femmes, les hommes piquaient x.x. Bref, tout le monde s’en fout !
Et parce qu’aujourd’hui il avait envie d’avoir la classe, il avait enfilé une chemise noire dont il avait laissé les premiers boutons ouverts, ainsi qu’un simple pantalon. Se coiffant rapidement, il avait pris un sac au contenu mystérieux avant de sortir de sa chambre. Mais attention, c’était un compagnon de chambre attentif qui ne manquait jamais de dire au revoir à son grand coupain de chambre. D’où le :

« A ce soir darling <3. Don’t miss me ! I can’t be the man to one… one muet ? »

Oh il avait entendu certains parmis vous, vous aviez pensé « sale con ». Non ? Bon… vous n’aviez pas obligatoirement tort x.x. Pas obligatoirement ! Donc, il avait refermé la porte tout doucement pour ne pas faire de bruits et gêner son collocataire… ahahaha, il se trouvait vraiment trop marrant ! Et il s’était mis en marche vers une destination connue de lui seul. Un instant, il avait été tenté d’aller chercher son grand ami, compatriote macho… mais peut être était il dans les bras d’une douce demoiselle à l’heure qu’il est. C’est vrai, il fallait attendre encore dix minutes pour qu’il la largue non ?
Passons. Se promettant de passer voir son ami plus tard, il avait quitté les couloirs du dortoir, tragiquement nommé le dortoir des hommes. Quel abruti avait décidé de ne pas faire des dortoirs mixtes ? Il n’imaginait pas le gain de place >.<. Pfff, aucune économie dans le coin. Il était navrant de voir les gens gaspillaient leur argent de cette manière et… il pouvait encore continuer longtemps dans les excuses peu logiques. Rejoignons donc plutôt l’action de notre héros. Notons que pour Shota, il était le seul personnage de ce rp. Les autres n’étaient que des figurants. Et ouais, c’était dégueulasse, mais on pardonnait toujours tout aux enfoirés !

Et c’est en étant cet enfoiré, une fois de plus, qu’il entra dans une salle d’attente, sourire du conquérant sur le visage. Ici, nous aurions bien parler de Guillaume, mais Alexandre suffira pour ce post. Posant son sac près d’une chaise, il s’était assis après un bonjour au combien faux cul à la secrétaire.

« Vous venez pour un rendez vous ? »

« Oui c’est cela même. »

Aaaah, elle ne le connaissait pas. Sinon, elle aurait su que son sourire d’innocent… n’était que le pâle masque d’un sourire de merdeux.
Avec patience, il avait attendu qu’elle retourne à sa paperasse. Ce qu’elle fit à peine quelques secondes plus tard. Aaaah, naïve secrétaire. Et son sourire s’était élargit, comme un gamin. Comme un gamin oui…. A le voir ouvrir son sac quelques temps après pour mettre des magasines pornos sur la table… on ne pouvait dire que gamin >.<. Mais lui, ça semblait l’amuser en tout cas. Aaaah, il en faut vraiment peu pour être heureux.

Vous savez quoi ? Notre petite Ayaka, oui parce qu’elle est vraiment petite, en avait vraiment marre. Personne à faire chier, elle était seule dans sa chambre. Qui allait-elle pouvoir martyriser? C’était même pas drôle !! X___X. Alala... Donc, n’ayant rien à faire, la jeune fille connu aussi sous le nom d’Aya ou de Yaka, se promener dans les couloirs, elle chercher quelque chose... Quoi ? Enfaîte le bon mot serait plutôt « qui », parce que oui, elle chercher un être humain, qui génétiquement était son timbré de petit frère. Franchement, qui était le plus fou des deux ? Ayaka savais, c’était lui, après les autres, même votre avis ne compte pas pour la petite Yaka. C’est quoi ce surnom stupide ? Ah oui celui donné par un timbré qui se croit le plus beau du monde O_O. Quoi que, ce n’était pas entièrement faux...
En tous cas la jeune fille cherchait dans les couloirs du dortoir des filles, puis dans ceux du dortoir des garçons, elle croisa sans le savoir un emmerdeur de première, qui était partis on ne sait où. Elle commençait à s’énerver, hey relax, Aya!! Bah y’avais quand même de quoi Riku avait disparu de la surface de la terre, pff même pas juste ce petit con avait piqué le paqué de clope de la jeune fille. Sur son visage on pouvait bien lire l’expression « je veux fumer ». Pas grave elle irait en piquer, elle ne demanderai pas au dégénéré qui lui servait de frangin. Elle poussa donc la porte de la chambre de celui-ci et fouilla un peu partout, victoire, elle trouva ce fameux paquet. Puuu, il en rester trois et demi... ET DEMI ? Il avait osait, ce petit enfoiré, qu’il fume, tant mieux pour lui, mais qu’il pique c’était une autre histoire. Attends un peu qu’elle le chope, elle lui en ferait voir de toutes les couleurs.

Soudain, elle entendit des bruit de pas, merde soit c’était son frère qui rappliquer soit c’était un membre du personnel, elle était dans le caca là X__X. Enfin, pas si c’était son abruti de frère, là elle l’aurait massacré, et tout ça avec le sourire. Rien qu’à cette idée, la jeune fille, qui était vraiment folle, elle, ria, macabre non? C’était sa schizophrénie, rien de grave je vous rassure. Revenons au bruit de pas, quand elle les entendu, elle fourra vite fait le paquet de cigarette dans sa poche, referma le sac de son frère, et ferma la porte, manque de pot, c’était trop tard. Vous êtes impatient de savoir qui c’était hein ? Et bien il s’agissait d’une femme de ménage, qui, quand elle vu la fille, appela le personnel. Et zut! Quand est-ce que je pourrais fumer tranquille, se demanda Aya.

« Mademoiselle Tachibana, veuillez nous suivre immédiatement
- Pourquoi ?
- Ne faite pas l’innocente, que faites-vous dans la chambre de votre frère !!?
- J’sus venu l’assassiner, ce piqueur de clope! »

Et non, elle était sans gêne, bah quoi ? Elle le pensait vraiment. C’était pas compliqué elle adorer foutre la merde et faire chier le personnel de cet endroit pourri, où elle n’a même pas demander d’aller. Ils voulaient l’aider? Bah c’était trop tard, ils avaient loupé le coche. Franchement, il est vraiment très con se personnel. Deux d’entre eux l’attrapèrent comme une criminelle échappée de prison. Elle soupira avant de se débattre, mais rien à faire, c’était des armoires à glace comparé à elle. La jeune fille fut traîner dans tout le dortoir, alors qu’elle crier qu’elle n’avait même pas d’armes. Il est vraiment bon à rien ce personnel O___O. C’est à ce moment qu’ils passèrent devant l’aile scolaire. Et là, l’une des deux armoires eut le malheur de la lâcher cinq pour parler avec sa femme, enseignante qui ne sert à rien, au passage. Comme je disait, il sont vraiment bêtes ses membres du personnel. Et là un coup de pied bien placé et elle eut le temps de s’échapper, elle courut, traversant l’aile médical et finit par atterrir à l’ail psychiatrique, elle ouvrit la première porte qu’elle put, la salle d’attente. Aujourd’hui il n’y avait que quelques personnes. Malheur, elle trébucha sur quelque chose, encore inconnu, se n’est qu’en relevant la tête qu’elle devina que c’était sûrement le pied du con qu’elle avait croisé toute à l’heure, c’était donc ici qu’il se rendait... Donc, je disais, elle releva la tête, qui était vraiment, mais vraiment très mal placé, comme dirait les espèces de pervers « Ouvre la bouche »... Avez-vous besoin d’un dessin ? Là, elle avait vraiment l’air conne, le pire c’est que tellement choqué de se retrouvé nez à nez avec l’entrejambe du jeune homme, qu’elle fut légèrement paralysée. Bah, il lui restait toujours son paquet de clope en consolation... Elle avait vraiment honte, tellement qu'elle était devenue légèrement rouge tomate. Elle finit enfin par cacher sa tête dans ses mains, elle ne pouvait bouger de toute manière, elle était entre ce pervers et la table, le pied coincé par celui de Sho-sama...

Oui... Les patients sont vraiment des pervers...

[J‘espère que ma réponse convient au petit pervers! N‘oublies pas, les pervers vaincrons! xD]

Homme heureux qu’il était à disposer ses revues cochonnes sur la table de la salle d’attente. Ses ? Quoi, vous ne pensiez tout de même pas qu’il lisait encore Martine à la plage, Martine à la ferme, Martine fait un gâteau, Martine va à la chasse au bison… bon c’est bon Shota, on a compris le principe ! A ton service lecteur ^o^. Maintenant que ton esprit est eclairé, laissons donc Shota organiser son petit présentoir. Aaah, il était si gentil. Il pensait aux patients qui allaient attendre ici. Avec un peu de chance, des prudes allaient passer par là et iraient se plaindre à la direction. Haaan, et le centre fermerait et il serait libre. Non, juste envoyer dans un autre centre. Ouais, mais peut être que dans celui là, il y aurait des chips à la cafet’. Et ouais, toujours voir le côté positif des choses. C’était important. Posant une main sur sa bouche, comme un gamin, il avait etouffé un léger rire. Ouais, il trouvait ça réellement amusant. Pas bien malin, mais amusant. Alors, ça lui suffisait pour animer un peu sa journée morne d’interné. Aaaahhh, il était fou O_O. Non, toi t’es un délinquant. Ouf, c’est beaucoup plus classe ^o^. Lui ? En fou qui tue des gens. C’était impossible, il tâcherait ses habits et sa mère qui vivait en Inde avec ses 35 sœurs ne lui pardonnerait jamais ! Ouais, même en pensait il s’inventait des vies. Au moins, il n’était pas dans un centre pour rien. Tellement gentil de ne pas faire perdre leur temps au petit personnel. Arigato Shota !

Sifflant joyeusement un air, il n’avait eu le temps que de tourner la tête quand la porte s’était ouverte. Quelques secondes plus tard, il faisait déjà un croche pied sans le vouloir à une demoiselle. Waaah… chieur sans le vouloir O__O. Merde, il s’aimait encore plus qu’il y a quelques minutes. Il devait absolument remercier cette âme si noble qui… ah…. C’était pas ce qu’on appelait une situation gênante ça ? Ouais, un truc dans le genre. Heureusement, ce qui gênait les autres, le faisait sourire. Qu’il était bon d’être dans sa peau !
Soyons honnête. Les premières secondes, il avait ouvert la bouche dans une expression d’incompréhension. Voir quelqu’un rentrer en courrant pour voir son psy, ce n’était pas courrant… et bah, elle devait avoir un sacré problème au cerveau ! Ok… il y avait sans doute une autre raison. Mais la première version lui plaisait tellement plus. Ensuite, malgré le comique de la chute, il lui avait néanmoins fallut le temps de réaction. C’est ensuite qu’il avait sourit, fixant la demoiselle. Elle avait beau se cacher la vue, les faits étaient là :

« Aaaah qu’est-ce que j’y peux si toutes les femmes sont attirées par ça. Perverse ! »

… perverse ? Et lui avec ses revues ? Ouais, mais elle ne pouvait plus prouver que c’était lui qui les avait mis sur la table non ? Bon, elle pourrait le penser, mais n’importe quel jury lui accorderait le bénéfice du doute.
Alors, il pouvait en rajouter. En rajouter parce qu’il venait de se dire que :

« En fait, c’est pour ça que tu viens consulter ! T’es nymphomane *o*. »

Vite ! Il fallait qu’il envoie un sms à Daisuke pour lui dire qu’il était avec une nymphomane dans une salle de consultation !
Plus tard. Un peu d’égoïsme d’abord. On verrait ensuite. Et puis, Daisuke était méchant, il allait lui faire peur. Il n’y avait qu’avec lui qu’il était gentil. C’était l’amour exclusif ! Quoi ? Comment ça Shota était aussi un enfoiré ? Ouais, mais un enfoiré débile… ça changeait tout è_é. Il n’était que le prince des enfoirés, Daisuke était son roi trop beau !
Mais revenons en plutôt à la situation. Et comme tout homme, analysons la bête… la femelle ! La femme ! Merde… crétin de macho qui se trompait à chaque fois. Shota, une femme n’est pas un morceau de viande. Tais toi, on connait tous le sexe de la narratrice è_é.
Plutôt mignonne, mais une question lui venait tout de suite :

« Oh c’est mignon, t’as voulu te couper tes cheveux comme sur ta Barbie ? »

Baka x.x
Vous voulez quelque chose d’encore plus con ? A cet instant là. Il y avait une personne en plus. Une internée de plus. Et là pensée ridicule du « plus on est de fous, plus on rit » lui était venu. Quoi ? C’était pas marrant ? Bah lui il trouvait que si è_é.
Décoince là au lieu de penser de la merde. Naooon, pas tout de suite ^o^

Non, ce n’était pas drôle, enfin pas pour Ayaka, les autres se marrait bien, elle essayer de sortir d’où elle était, mais pas moyen. Ce baka le faisait exprès ou quoi !? Non, ce n’était pas la peine de la regarder comme ça, ce n’est pas une nymphomane. Quoi que, elle ne pouvait pas dire qu’elle ne trouvait pas se baka beau, parce qu’elle le trouver... Pardonner les idées perverses, il vaut mieux censurer, je ne veux pas choquer les âmes sensibles. Perverse? À ses heures perdues peut-être, mais il n’avait rien à dire avec toutes ses revues plus qu’érotique. C’était lui le pervers dans l’histoire, il avait tout de suite penser à ça... Vous savez, l’endroit avec lequel Yaka était tombée nez à nez. Dans d’autres circonstances, en effet, elle aurait eut des idées, très mal placées. Mais là, elle avait plus honte qu’autre chose, et elle voulait à tout prix se cacher loin. Si c’était possible elle serait partie en courant, mais elle était dans une position gênante, qui ne pouvait s’arranger que si le jeune homme retirer ses jambes de là, entre ça et la table, trop basse pour qu’elle passe en dessous, en plus O_O, et pour couronner le tout, elle était sceller au sol, évidement y’a des fous partout ici, et le personnel n’allait pas s’amuser à tout remettre en place après chaque consultation chez le psy. Et puis d’abord, elle n’était même pas là pour une consultation, mais pour fuir. Je vous rappel qu’il y a deux armoires à glace et un médecin à ses trousses. Le jeune homme avait l’air de bien se marrer de la situation. Il parler même de Barbie... C’était quoi encore cette histoire de ce couper les cheveux comme ça poupée ? Il était malade, maintenant Ayaka comprenait pourquoi le jeune était là =_=... Remarque, avec ses idées tordues on aurait pu faire le livre du parfait pervers, s’aurait pu être sympa. Aya repris ses esprits, et ses joues reprirent des couleurs normales. Son côté sadique n’allait pas tarder à se faire voir. Très bien, elle ne voulait pas le laisser partir, elle prit le briquer qu’elle avait dans sa poche, et de son autre main, les cigarettes, elle commença en s’en allumer une. Elle jouer avec son briquet près de la partie « sensible » de se petit con...

- Laisses-moi sortir, j’ai pas de temps à perdre...

Oui, surtout qu’elle entendait les gars hurler, elle sursauta et lâcha sa cigarette, où il ne fallait pas, bien évidemment, au moins là, elle était sûre de pouvoir partir. Sauf que là une des deux armoires à glace rentra, elle repris sa cigarette, lui demandant pardon d’un geste, et regarda qui venait d’entrer, merdasse, c’était le gros lourdaud de toute à l’heure. Elle se rapprocha, dangereusement, de la partie qu’elle venait de brûler et piqua la veste du gars pour se la mettre sur elle, tellement débile qu’il ne l’aurait sûrement pas vu. En parlant de voir, Ayaka avait vu dans le mil! Il ne l’avait pas vu, il était parti sans qu’il ne la remarque, sauver, enfin pour le moment. Elle se rendit compte, qu’elle était carrément côté au gars, merde, comment elle allait s’en sortir, elle lui jeta sa veste au visage avant d’essayer de pousser les jambes de Sho-sama, en vain, elle n’était pas assez forte, elle ralluma la cigarette qu’elle avait éteinte. Elle regarda son paquet, il rester toujours la demie cigarette. Elle aller le tuer ce frangin qui servait à rien, en plus de ça un voleur de clope, nah mais oh!!! Riku, soit maudit, les pensées de la jeune fille n’allait que vers son petit frère. Tout était de sa faute après tout, si il n’avait pas été là, elle serait encore avec sa soeur et ses parents. Elle ne voulait pas admettre qu’elle était malade, oui les schizophrènes n’admettent jamais qu’ils sont malades. Elle refusait de croire que ses parents l’avait abandonner, elle disait que c’était de la faute de Riku, ce n’était pas la sienne, toute était la faute de se petit démon qui était son frère. Mais quand elle disait ça, tout le monde la prenait pour une folle. Et voilà que maintenant tout le monde la prenait pour une nympho.

Ayaka se recolla à la table, ses cernes étaient importantes, elle n’avait pas beaucoup dormis ces derniers jours, remarque qui irait parfaitement bien après avoir été abandonner par ses parents avec qui elle vivait depuis dix-neuf ans, cela faisait un paquet d’années quand même. Tout ça pour conclure que ses deux étaient des ploucs trouillards comme pas deux. Du grand n’importe quoi en gros. Pour revenir au jeune homme qui la tenait en quelque sorte prisonnière, il était plutôt pas mal, mais trop arrogant, rien qu’à l’entendre parler, on pouvait devinait qu’il se prenait pour la huitième merveille du monde. Aya’ était plutôt mignonne en plus, mais les méchant psy ne voulait pas qu’elle se coupe les cheveux, du coup il avait bien poussé depuis son arrivée, il y a environ 1 mois, elle ne ressemblait plus tant que ça à un garçon, malheureusement pour elle. Mais bon, elle se ferait recoupé les cheveux dès qu’elle aurait la permission de sortir de Niban’. Pourtant, avouez, elle est plutôt trop mignonne avec ses cheveux plus long, et même avec les cheveux courts, on voit bien qu’elle est une fille. Pourquoi ces foutus psy’ ne voulaient pas qu’on lui coupe les cheveux ? Tout simplement parce que cela faisait partie du faite qu’elle n’acceptait pas être une fille. Elle le savait bien, elle n’était pas un gars mais bel et bien une fille, avec tout ce que ça comporte, comme le joli visage aux traits fins ou encore de la poitrine, et autres... Enfin, je ne vais pas vous faire un dessin, tout était là pour dire que Yaka était une fille. Ni un gars, ni un pokémon ou un bisounours, rien de tout ça, une fille. Je parle de dessin animé, mais heureusement que l’on ne compare pas Ayaka et Dora l’exploratrice... Avant tout, Ayaka détestait son frère, parce que c’était un gars, il avait eu la chance qu’Aya’ n’a pas, enfin pour elle, car il y a bien des hommes qui voudraient être femme.

Oui, des comparaisons, on peut en faire, mais chacun est comme il est, et si Ayaka est une fille, c’est à cause du destin, et pas de ses parents...

Lui ? Le faire exprès ? Mais quelle idée grotesque ! Lui qui était le symbole de la pureté et de la gentillesse... le suspecter ? Enfin voyons, c'était parfaitement ridicule ! Il sauvait des gens tous les jours, et iccompris de situations gênantes. Tiens, pas plus tard qu'hier... non avant hier... non... c'était quand la dernière fois déjà ? Merde, lui et ses foutus problèmes de mémoire.
*o* Lucky, il pouvait changer de groupe s'il ne voulait plus être dans les délinquants !
Euh... stop, il était dans le meilleur groupe, il était hors de question de changer pour allez chez les fous. De toute manière, là où il se trouvait, c'était obligatoirement la meilleure chose. Alors ce centre aussi ? Apportons une correction. Selon lui, quand il se trouvait dans l'endroit, l'endroit devenait meilleur puisque sa perfection avait une influence sur le lieu. Aaaah, tourné comme ça, c'était tellement mieux !
Bref, n'allons pas l'accuser de faire exprès de laisser une demoiselle dans une situation gênante. Nous dirons plutôt qu'il était trop tête en l'air pour tout simplement penser à lui donner un coup de main. Ahlalala, quel étourdi il était ! Avec un peu de chance, il penserait à lui filer un coup de main dans cinq minutes, ou dix.... Allez, soyons honnêtes: quand il en aurait envie ^o^.
Enfin voyons Shota, tu ne céderais pas à la requête d'une jeune demoiselle ? Bah, il y avait quelque chose qui ne collait pas qu'elle devait d'abord corriger pour pouvoir sortir. "Pas de temps à perdre". Mais comment pouvait on perdre son temps quand on était avec lui ? C'était tout simplement impossible ! C'était un cadeau, un précieux présent qu'on devait chérir que ces quelques minutes en sa présence divine. Ouais, même dans une situation gênante.
Et puis en plus...

"J'ai pas entendu le mot magique !"

Gamin x.x

"Laisse moi sortir Kimito-sama, oh Dieu de la beauté sur Terre, toi qui est si beau et si parfait, fais preuve de bonté envers moi et accède à ma requête. Mais tu peux en rajouter, je suis pas contre la lèche personnellement ^o^".

Baka x.x

Bon ça va les moqueries ! N'oubliez pas le plus important pour Shota: toujours être réaliste ! Il était important de ne pas se mentir à soi même pour ne pas s'enfoncer dans une spirale funeste qui déclencherait un profond trouble du comportement mais aussi... waaah, il aurait vraiment pu être psy *o*. Il ne comprenait pas ce qu'il pensait... il était fait pour ce métier ! En fait, il n'avait fait qu'imiter un charabia qu'il avait déjà du entendre de la bouche d'un psy. Mais comme à son habitude, il rendait les véritables paroles beaucoup mieux. L'avantage d'être parfait.
N'empêche que la fille était dingue. S'allumer une clope, ils allaient se faire virer et il avait encore un numéro spécial poitrine à mettre sur la table è.é. Pourquoi fallait il toujours que les femmes fassent échouer les plans géniaux des hommes ? Parce qu'elles étaient faibles, bien evidemment.
Ouvrant la bouche dans un air choqué, il avait tourné les yeux vers la secrétaire qui ne semblait pas avoir remarqué. Mais bientôt elle allait sentir l'odeur et... putain, les filles étaient vraiment trop chiantes x.x. Si on en avait pas besoin pour les trucs pervers, il y a longtemps qu'il aurait demandé son adhésion à un centre exclusivement masculin !
Il allait lui dire d'écraser cette cigarette tout de suite quand elle l'avait fait tomber. Second air choqué, il avait retiré le maudit objet le plus rapidement possible pour lui tendre. Ouais, au début il voulait la balancer, mais quand le petit peuple (ici voir personnel) était entré, il avait pensé que ne pas faire de vagues était préférable.

Waaah, elle était vraiment nympho *o*. Ta gueule Shota, elle se planque juste.
Alors c'était une rebelle en fuite ? Rien à faire, il préférait la version nympho -.-. Bon, disons qu'elle fuyait le petit peuple parce qu'elle était ici pour nymphomanie et qu'elle préférait coucher avec un mâle plutôt que d'aller à sa séance de psy.
Haaan, quel talent pour voir les choses à sa manière.
Adressant un petit signe de tête hautement hypocrite au mec, il avait ensuite detourné les yeux le temps qu'il parte. Puis, il avait reporté son attention sur la nympho pour reprendre sa belle veste. Pfff, pourquoi fallait il toujours qu'on se serve sans demander. Il savait bien que tout le monde rêvait de toucher quelque chose qui lui appartenait, mais même è.é.

"On touche pas à la veste de Dieu ! Nan mais c'est vrai, est-ce que quelqu'un touchait au bâton de Moïse ? Nan è.é. Alors à la veste de Kimito-sama, encore moins ! Pêcheresse !"

Hey mais... elle s'était rallumée sa clope.
Pitié....
La prochaine fois qu'il créeait la femme, il lui donnait un cerveau. Poussant un soupir, il avait pris la cigarette pour l'éteindre au moment où il avait entendu:

"On ne fume pas ici jeune homme !"

"Hey mais c'est pas moi, c'est elle è_é. La nympho !"

"Eteignez moi ça !"

"Je rêve...."

Même s'il aurait bien voulu se la jouer et écraser la cigarette sur la main, il l'avait fait sur le sol alors que l'autre débile leur faisait remarquer qu'elle les ferait sortir s'ils continuaient. Pourquoi fallait il toujours que la femme empêche sa grandeur de se montrer ? Pfff.
Baissant les yeux vers l'inconnu qu'il n'avait toujours pas relâcher, il lui avait tapoté la joue dans un:

"Vilaine petite fille ! La prochaine fois, t'attends que j'ai finis avant de faire ta rebelle !"

Quoi ? Poser le numéro spécial sur les poitrines, c'était vachement important !

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