Shota Kimito
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Age : 38
HUMEUR : Troublemaker forever !
LOVE : Shota Kimito
CITATION : Sho-sama got the power !
CARACTER SHEET
RELATIONS:
À SAVOIR:
 | Sujet: Kimito Shota  Lun 27 Oct - 3:18 | |
| NOM :
Kimito
PRÉNOM :
Shota
SURNOMS :
Sho
ÂGE :
18 ans
GROUPE :
Délinquants
PHYSIQUE
Aaaah Shota. Comment résister au charme de ce phénomène là ? Les gentils garçons plaisent moins aux filles que les vilains ? Et bien Mesdames, avec Shota, vous voilà comblées. Il ne dépasse pas le mètre quatre-vingts, mais il dépasse le mètre soixante-dix. Il n’est peut être pas bien gros, mais il se rattrape largement niveau musculature. Il n’y a qu’à le voir torse nu pour comprendre que c’est un sportif et qu’il vaut mieux ne pas s’y frotter. La vie lui a appris que la force physique pouvait être plus utile que les mots, souvent selon lui. Il aime sans doute se dire que certains n’osent pas le provoquer.
Il possède sans aucun doute le charme du ténébreux. Par son attitude et par son physique. Des cheveux noirs qu’il garde assez long. Ce n’est pas parce que c’est un vilain qu’il ne prend pas soin de son apparence, bien au contraire. C’est le premier à vérifier que sa coiffure est en ordre ou qu’il s’est correctement habillé. Mais nous mettrons ça sur une combinaison de son côté charmeur avec celui vantard. De beaux yeux noirs viennent compléter au charme du ténébreux. Et il faut avouer qu’ils ont tendance à avoir cette expression incroyablement merdeuse. L’expression du chieur, il la possède, mais il en est aussi le maître.
Un visage typiquement masculin vient compléter sa virilité. Et pour finir, il a la chance de posséder des grains de beauté qui lui donne un atout charme.
C’est tout ? Il y aurait toujours à dire sur le beau Shota. C’est vrai qu’il peut avoir l’air incroyablement froid. Mais la plupart du temps, il sourit et… ah ce sourire colgate *o*. C’est un merdeux. Et il pense que sourire peut faire chier les gens dans certaines situations. En le regardant, on peut penser que ce n’est pas le genre de personnes à fréquenter. Mais on se sent également attirer vers lui. Sans doute une espèce de charisme qu’il dégage.
CARACTÈRE
Encore une fois, ici aussi il y aurait beaucoup à dire. Shota Kimito, c’est l’histoire sans fin sans le petit indien au nom impossible à écrire. C’est l’encyclopédie qui n’en finit plus de rajouter des choses. C’est la phrase à laquelle un élève à oublier de mettre le point final. Bref, vous avez compris le principe. Alors, au lieu de faire une fiche qui n’en finira jamais, contentons nous de donner les bases de la perfection. Car il faut savoir que c’est ce qu’il est… selon lui x_x.
La première chose qui frappe chez lui. C’est ce côté chieur. Chieur ? Le Dieu des chieurs même. Si on devait montrer une personne en exemple pour définir ce mot, l’encyclopédie le choisirait probablement lui. Il aime faire chier. En fait, c’est même sa principale passion que d’aimer emmerder le monde. Il ne veut pas qu’on lui trouve d’excuses, il veut juste qu’on reconnaisse son talent sur son point. Car pour lui, être merdeux est un atout. Pourquoi ? C’est sans doute les excuses qu’on pourrait lui trouver. Tout simplement parce qu’il n’aime pas que les gens soient trop proches de lui. Alors, les éloigner en se montrant froid ou chieur, c’est sa façon de faire. Pourtant, il n’a pas l’air bien méchant. Juste merdeux. On aurait presque envie de s’en faire un ami quand il fait chier un autre que vous. Pourquoi ? Parce que c’est marrant tout simplement.
Et alors, quelle est la raison qui fait qu’il ne veut pas laisser rentrer trop de personnes dans sa vie ? Juste laisser passer l’élite qui arrive à passer malgré ses efforts ? Shota est beaucoup trop fier. C’est sans doute le trait de caractère qui domine avec son côté chiant. Il est fier d’être parvenu à se sortir tout seul de « la vie de merde » que le destin lui avait donné à la base. Il n’est pas content qu’on veuille le placer dans un centre. Non, Monsieur dit se débrouiller très bien tout seul sans l’aide des autres. Se faire aider, c’est limite une honte pour lui. Il n’a pas besoin des autres pour s’en sortir. Il s’en sort très bien tout seul. Jusqu’ici, il s’est débrouillé tout seul, alors il ne voit pas pourquoi les choses devraient changer aujourd’hui. Et pas la peine d’essayer de le faire changer d’avis !
C’est donc également une personne débrouillarde ! Il sait rendre une situation moins pénible pour lui, ou s’adapter à un nouveau lieu quand il en a envie. Indépendant, il a toujours été fier de s’être débrouillé seul dans la rue. Malin, il arrive souvent à apprivoiser les gens ou à sortir en douce d’un endroit dans lequel il ne veut pas rester. Ainsi, sans permission ou pas, il lui ait déjà arrivé de se balader dans les rues de Tokyo. Parler aux autres ? C’est une personne très méfiante. Pour gagner sa confiance, il faut appartenir à un cercle très privé. Il ne laisse pas rentrer n’importe qui dans sa vie. Et même aux rares personnes qu’il peut considérer comme un ami, il lui arrive de faire des cachotteries. Il faut savoir cultiver le mystère.
Il joue sans doute un jeu. Les gens ignorent qu’il peut être tout à fait sympa, qu’il peut s’attacher à des personnes, et qu’on peut même le trouver attachant. Les gens ignorent également qu’il a peur de s’attacher, qu’il a sans doute peur des autres également et de toute relation. Finalement, il fuit peut être plus qu’autre chose. Mais il préfère de loin rester ce classe merdeux qu’il affectionne tellement. Oh ça pour être vantard, il l’est. Simple humour ou réalité ? Il ne le dira pas. De même qu’il ne dira pas si c’est réellement un gamin. Il s’amuse en effet parfois, souvent, à être un parfait crétin chieur. Bavard, toujours le mot pour casser. On lui trouve un certain talent pour se servir de sa bouche. Mais également un certain talent pour se montrer sans gêne, le genre à voler le caddie remplie d’une petite vieille. Lui faire la moral ? Il ne vaut mieux pas. Il déteste tout ce qui rapproche à l’autorité, préférant faire ce qu’il lui plait.
Shota, on l’adore ou on fait semblant de le détester non ? Il dit s’en foutre.
HISTOIRE
Il y a dix huit ans, Shota voyait le jour au sein de la famille Kimito. Des pleurs de joie ? Un père qui coupe avec plaisir le cordon ? Rien de tout ça. Pour connaître ce genre de choses qu’on dit habituelles, il y aurait du avoir dans cette histoire le mot « enfant désiré ». Ce qu’il n’était pas, n’est pas et ne sera jamais. Shota arrive dans une famille où on n’aurait désiré ne pas avoir d’enfant. Sa mère tombe enceinte au moment où elle aurait du décrocher un rôle dans un film. Faire la belle devant les caméras, c’est tout ce qu’elle avait toujours désiré. Alors un enfant tombe plutôt mal. Et le père, n’en parlons même pas. Il a épousé une jolie femme, mais ça ne lui empêche pas de lui préférer plusieurs soirs par semaine des hôtesses. Rien de bien original si Shota avait été acteur d’un film. Le père dépensier à qu’il arrive de rentrer avec un coup de trop dans le nez. La mère qui ne se soucie que de son physique. Cette mère qui n’avorte pas pour de simples croyances. Sans doute ce qui fera que Shota n’aimera jamais la religion, encore aujourd’hui.
Son enfance, il ne la passe pas à jouer avec les autres enfants, ou à embêter ses cousins. Il la passe sous les coups. Une triste histoire mais bien réelle. Dès son plus jeune âge, il est forcé d’apprendre à encaisser parce qu’il a peur du père avec qu’il aurait du jouer au baseball le dimanche dans une vie normale. A l’école, il s’isole dans son coin pour éviter les questions, et autres raisons. Tout seul, on ne craint pas grand-chose non ? De toute manière, les autres se moquent de lui. Oui, petit, le Shota si classe d’aujourd’hui était une victime. Quand il rentrait, il courrait dans sa chambre pour éviter son père. Il sursautait dès qu’une porte claquait. Il n’osait pas approcher cette mère qui ne faisait jamais rien pour lui et qui se mettait toujours du côté du père parce qu’il lui avait fait louper le seul rôle intéressant qu’on lui ait jamais proposé.
S’enfermant peu à peu dans son silence, il ne fait que supporter pendant toutes ces années. Jusqu’au jour où un camarade de classe l’invite chez lui. Heureux comme il ne l’a jamais été. C’est Hiroki ! Tout le monde l’adore au collège, il est populaire et il s’intéresse à lui. Il n’a pas invité un autre, il l’a invité lui. Après les cours, se moquant pas mal de recevoir des coups de plus en rentrant, il va donc dans la grande maison de son amie. Une immense demeure. Ses parents ne sont pas là mais Hiroki lui propose de jouer à ses jeux vidéos. Lui, des jeux, ses parents ne veulent pas lui en acheter. Ils montent donc dans sa chambre. De cette chambre dont il ressortira une heure plus tard dans un état pitoyable après avoir été roué de coup par Hiroki et ses amis. Tout ça pour quoi ? Parce que c’était une victime qui subissait déjà les coups de son père, un souffre douleur ?
Les coups de trop ? Sûrement. Quand il rentre chez lui et que son père se met à lui crier dessus, à le battre à nouveau parce qu’il avait des marques, il trouve enfin le courage de répondre à son père qui fait la différence entre les marques de ses coups et ceux des autres. Alors il réplique, il rend les coups, en encaisse d’autres, mais en rend le plus possible. Si sa mère n’était pas intervenue, il ne sait pas jusqu’à où il aurait rendu les coups. Quoiqu’il en soit, la fin ici se trouve quand il claque la porte de sa propre maison et court le plus loin possible de celle-ci. Jamais il ne reviendra ici, c’est la promesse qu’il se fait.
Pour aller où ? Ce n’est pas la question qu’il se pose à cet instant là. Partout ailleurs que chez lui fera l’affaire. Et c’est là où un fugueur de son âge se retrouve qu’il finit, dans la rue. Certains finissent par rentrer chez leurs parents, d’autres se font prendre et finissent dans un foyer ou dans une nouvelle famille s’ils ont de la chance. Lui, il traîne avec qui ça l’arrange pour s’en sortir. Rapidement, il ne voit pas d’autres alternatives que de se mettre à voler pour survivre. La seule chose qu’il fait de bien, c’est sans doute la danse qu’il apprend dans la rue. La seule chose qu’il fait de bien, mais aussi celle qu’il aime. Du moins, c’est ce qu’il veut. Etre déçu par les gens… il ne veut plus ressentir ce sentiment.
Alors voilà comment se passe sa petite vie. Rien de bien exceptionnel. Passé avec des délinquants, des gens comme lui non ? Voler, tricher, mentir et faire de son mieux pour avancer. Mais il pense s’en sortir plutôt mal. Ça lui va. C’est mieux que sa vie d’avant et au moins il fait ce qu’il lui plaît. Les gens le respectent, certains le craignent même parce qu’il sait montrer qu’il rend les coups en double. Il se pense prêt à vivre comme ça pour les restes de ses jours. Mais encore une fois, il faut qu’on vienne le saouler. Lors d’un vol, il se fait arrêter. Et voilà maintenant qu’on l’envoie dans un centre ? Le faites pas marrer. Lui ? Dans un centre ? Ne comptez pas sur lui pour faire sagement ce qu’on lui demande de faire. Pardon, les conseils, ou ce qu’ils diront là bas. C’est sa vie, il n’a besoin de l’aide de personne pour la gérer. Alors, oui c’est un élément récalcitrant, mais ça lui plaît bien de l’être !
RELATIONS
Avec le personnel ? Sans doute très mauvaises. Il faut dire qu’il ne fait rien pour se montrer coopératif et préfère se foutre de leur gueule plutôt que de les écouter. Mais quelques blagues, ce n’est pas méchant selon lui. Et puis, ces crétins n’avaient qu’à choisir un autre métier.
Sinon, il faut reconnaître qu’il est assez dur de rentrer dans son cercle d’amis. Il faut être doué ou fait pour lui plaire.
PARTICULARITES
Méfiant, solitaire, son principal problème est sans doute de n’accorder sa confiance à personne. Ou alors de mentir aux autres et à soi même quand il dit ne pas avoir besoin d’aide ni de personnes à ses côtés. Quoiqu’il en soit, il défit sans cesse l’autorité et n’admet que ses propres lois. Foutant la merde partout où il passe, il a du mal à se faire au centre.
AVATAR
Ryo Nishikido ● Le RPGiste ● PSEUDO :
Ninie
ÂGE :
22 ans
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