| | Yuichi Sakimoto [Terminé] | |
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+3Ayaka Tachibana Shota Kimito Yuichi Sakimoto 7 participants | Auteur | Message |
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Yuichi Sakimoto
Nombre de messages : 20 Age : 31
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| Sujet: Yuichi Sakimoto [Terminé] Mer 29 Oct - 1:15 | |
| Nom : Sakimoto Prénom : Yuichi / ChiChi harum x___x [fin sans le harum ><] Âge : 17 ans Groupe : Hors catégorie Description Physique : Plutôt mince et de taille moyenne, ne dépassant les un mètre soixante treize pour une poids variant vers les soixante kilos. Selon les appétits du moment, malgré tout Ryoshi n'est pas quelqu'un qui grossit facilement. Il ne mange pas des tonnes pourtant il ne mincit pas pour autant. Sachant que ce n'est pas un accro au sport mais il essaie d'en faire assez souvent, pour se défouler. Il a aussi le visage fin, typiquement asiatique, puisque ses yeux sont en amandes, sombre et profond. Les sentiments ont d'ailleurs du mal à être décryptés. Son nez est conforme, au milieu du visage, correctement placé. Ses lèvres sont assez fines. Cheveux châtain la plus part du temps, malgré que sa couleur naturel comme tout japonais soit le brun. Parfois décoiffé, souvent d'ailleurs, ou bien coiffé correctement, sa coupe est assez simple et courte. Il a d'ailleurs quelques cicatrices du aux coups qu’il a reçu, qu'il essaie en vain de cacher. Une se trouvant dans le bas du dos, ainsi qu'une au niveau de la nuque, plus une ou deux ailleurs qui sont elles moins voyantes. Niveau vestimentaire, il aime s'habiller simplement du moment qu'il puisse se sentir à l'aise. Le plus souvent le jean et tee-shirt à manche longue ou voir pull à capuche, ou plus simplement avec ce qui lui passe sous la main. Caractère : « Ca va » Une réponse banale qu’il lance souvent lorsqu’on lui demande comment il va, quelle logique x___x, et surtout au psychologue. Yuichi n’étant pas du genre bavard, il répond souvent aux questions qu’il lui pose sans rechigner et sans conviction. A vrai dire lorsque l’on a pas de but précis dans la vie, tout ce qu’on fait, toutes les mots les gestes et même la respiration ont l’air inutiles, ainsi est la vision du garçon. Il est donc une personne que l’on pourrait qualifier d’indifférente et plus particulièrement avec les femmes. Les joies de vivre, l’envie de vivre même, il ne connaît pas, puisqu’il n’en a jamais vraiment connu le sentiment. Et deux questions que le gamin se pose constamment depuis qu’il sait ce qu’est que de réfléchir, sont bien évidemment « A quoi ressemble le bonheur ? », il n’a pas eu l’impression de savoir ce que c’était et « Ca sert à quoi de vivre ? » Typique, mais importante pour lui car on ne lui a jamais vraiment répondu, seulement par des ressentis. En face de vous, ce n’est qu’une boule de pessimisme ambulante. Du genre à voir le verre à moitié plein perpétuellement. Quand on se ballade avec lui, on a l’impression d’être entouré d’ondes négatives, c’en est presque effrayant. C’est aussi sa manière à lui de faire en sorte que les ‘monstres’ alias femmes [bah oui quoi désolé x___x’] ne s’approchent pas de lui et ne lui crée pas de crises d’angoisses. Et bien souvent ça marche, et puis vu comme il se couvre et se cache derrière sa capuche et ses gros pulls, ça fait surtout penser à un psychopathe x__x normal qu’on le fuit. D’ailleurs c’est en se nourrissant de films d’horreur à ses heures perdus, il est plutôt sensible et capable de se mettre à chialer devant un film d’amour, je vous jure xD, que Yuichi arrive à faire si peur, souvent c’est lui le mort vivant à Halloween 8D. Souvent l’on pense que derrière les regards meurtriers, remplis de haine, ou bien ses vides de toutes expressions se trouve un insensible, c’est un peu le contraire. C’est l’effet de grandir dans un environ entièrement féminin. Il se montre distant, et ne se sent vraiment bien que lorsqu’il se retrouve dans son univers, seul dans le noir, à penser, de tout de rien. Tant que ça ne touche pas aux ‘monstres’ ou chose le blessant, mais à vrai dire c’est assez rare, il réfléchit inlassablement sur le pourquoi du comment, à tout ce qui fait accélérer son rythme cardiaque, ce qui noue son estomac. Et comme je disais précédemment, Yui’ n’est pas quelqu’un de bavard, il coupe souvent court aux discussions, particulièrement lorsqu’elles lui paraissent sans aucuns intérêt ou que la personne ne lui en donne pas l’envie ou bien encore parce que les mots ne viennent pas, et qu’il se sent inintéressant par rapport à d’autres. En fait, il peut même se montrer agressif dans ses propos lorsqu'il souhaite qu'on le lâche. La compagnie des autres c’est comme une corvée plutôt qu’autre chose, quoique des fois dans ses moments de solitude intense, la présence de deux ou trois personnes ne vont pas le gêner. Il faut savoir que Yuichi ne sait jamais vraiment ce qu’il veut, alors ses réactions peuvent être mal interpréter, car se sont pour la plus part des changements de comportement ou de décisions brutaux. Sinon, il y a une chose à éviter, il comprend parfaitement que les médecins soient dans l’obligeance de lui poser des questions sur son passé, mais il déteste ça. C’est un sujet tabou. Souvent il se renferme et rentre dans son tourbillon de pensées noires. Mais le plus souvent, il se terre dans un silence pesant, plus particulièrement lorsqu’on le on insiste, chose qui l’insupporte en plus de ça il est horriblement susceptible, et certaines choses passent males, et la il n’hésite pas à dire le fond de sa pensée et souvent c’est méchant x____x. Le Sakimoto est un jeune homme qu’on pourrait qualifier de peureux et très réfléchis, il ne prendra pas une décision avant d’avoir fait la part de bons points et de mauvais, et sachant que c’est un pessimiste tout se conclut par un non, sur lequel il ne reviendra jamais ou très rarement. Il n’aime pas non plus s’engouffrer dans des situations à risque, si au bout d’un moment il ne sent pas à l’aise ou qu’il sent que c’est mauvais il fera immédiatement demi tour, c’est comme qui dirait un « lâche » à sa manière. En t’autre, l’asiatique est assez égoïste intérieurement, il ne montre que rarement l’affection qu’il porte pour les autres, bref, je disais donc, lorsqu’il « attrape » quelqu’un ou quelque chose qui lui tient à cœur, il a beaucoup de mal à partager, et cette souffrance il déteste la ressentir, et pour ne pas avoir à l’avoir de nouveau il n’essaie pas de nouer des liens fort avec les autres. Parlons dorénavant du traumatisme de Yuichi, les femmes. Ceci date de sa jeunesse, déjà être entouré de femme constamment, et son viol ainsi que les attouchements et la violence des monstres de sa famille à son égard. Maintenant, lorsqu’une femme s’approche de lui, soit il devient tétanisé, Yui’ ne contrôle plus ses membres ou bien il a des réactions violentes, la dernière rencontre avec une femme est ce qui l’a entraîné à rentrer dans un centre spécialisé. A vrai dire, la seule femme qu’il laisse l’approcher est sa mère, sinon il repousse le reste. Ensuite, il est atteint d’un Toc, trouble obsessionnel compulsif, celui de l’ordre et la propreté. Il peut passer des heures à ranger sa chambre, remettre les choses en place ou se laver les mains plusieurs fois à la suite, et le lavage compulsif est du au fait qu’on l’est touché jeune, quand une personne du sexe opposé le touche il a besoins de se nettoyer. Et si nous partions du coté des bons cotés, car Yuichi n’est pas qu’un être sombre sans cœur, loin de la. A vrai dire le nippon n’a jamais vraiment eu d’amis trop confiné dans son petit monde. Malgré ça, lorsqu’une personne, évidemment il faut que se soit un homme, lui demande de l’aide il ne refuse pas, enfin sauf des fois, quand ça n’est pas son intérêt mais le plus souvent il accepte. Il est naturellement généreux et aime donner de sa personne lorsqu’on lui est sympathique, sinon vous pouvez toujours crever. La politique de Yuichi est simple, il donne pour recevoir ou vice versa sauf que lui un sourire lui suffit comme remercîment, tandis que lui ne fera qu’un simple signe de tête, les sourires n’étant pas vraiment son dada. Mais quand je parle d’aider, ce sont des petits services de la vie de tous les jours mais comme il ne sort pas des tonnes. Il faut savoir que le garçon est du genre sensible, à prendre les choses trop à cœur, c’est un mauvais mélange avec la susceptibilité. Le nippon reste facile à atteindre émotionnellement. Il faut savoir que Yuichi est du genre à cacher ses qualités pour ne pas qu’on l’apprécie réellement. Sinon, lorsqu’il tient à une personne, il fera n’importe, et cette fois ci son coté réfléchis ne prend plus le dessus, mais le cœur. Et comme dis plus haut, il ne montre pas vraiment son affection, même si caché par de petits gestes attentionnés. Attention, Yui’ est plutôt rancunier, alors quand on le trahit il rejette les excuses, pour lui c’est inutile d’essayer même si des fois ça le touche et peut être bien qu’à force il pardonne. Mais ne pas croire que ça ne lui arrive jamais seulement c’est ainsi. Au fond c’est une personne adorable et gentille, qui préfère simplement se cacher, mais lorsqu’on le connaît un peu mieux derrière ses airs mystérieux, on l’aime bien. Petit plus, il est doté d’une très grande maladresse, et est bien trop souvent dans la lune. C'est-à-dire, être maladroit tout le monde sait ce que c’est, être dans la lune too, mais il lui arrive de s’égaré lors d’une discussion et de sortir un truc complètement à l’opposé ou encore qu’on lui parle et qu’il sorte un « Hein ?! ». Il faut aussi éviter de le faire sortir des vannes c’est mauvais pour les oreilles x____x. Enfin voila. C’est une partie dominante de Yuichi qui vient d’être présenté. Relations : Particularités: En plus du reste, il est claustrophobe mais à petit dose. Avatar : Shim Shangmin Pseudo : Choupi Âge : 16 ans Mutli-Comptes : / Votre impression du forum : *o* Le concept ^^ <33 Quelque chose à améliorer, ajouter? : Tout est très bien ^-^ Fréquence de connexion : 6 ou 7/7
Dernière édition par Yuichi Sakimoto le Mer 29 Oct - 21:42, édité 3 fois | |
| | | Shota Kimito Admin
Nombre de messages : 341 Age : 38 HUMEUR : Troublemaker forever ! LOVE : Shota Kimito CITATION : Sho-sama got the power !
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| Sujet: Re: Yuichi Sakimoto [Terminé] Mer 29 Oct - 1:18 | |
| Welcome !
xD Today débarquement de DBSK Mais bon, les deux que je trouve beau, alors jvais pas me plaindre xD Bien que Jojo forever <3 Voilà, ça c'était la parenthèse qui sert à rien xD
Bon courage pour ta fiche, mais tu m'as l'air inspi =p | |
| | | Ayaka Tachibana
Nombre de messages : 244 Age : 35 HUMEUR : Karasu LOVE : Dare mo Inai CITATION : Itadakimasu !?
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| Sujet: Re: Yuichi Sakimoto [Terminé] Mer 29 Oct - 1:26 | |
| O_______O ça c'est du caractère !! Bienvenue && Bonne chance pour la suite^^ | |
| | | Yasunobu Matsukura
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| Sujet: Re: Yuichi Sakimoto [Terminé] Mer 29 Oct - 1:29 | |
| AH NON ! Tu vas encore mettre une semaine à faire ta présentation, je le sens comme pas deux !! PITIÉ!! ne fait pas 4 pages Word d'Histoire. Allez, je me calme x'P Bienvenue \o/ Amuses toi bien <33 | |
| | | Yuichi Sakimoto
Nombre de messages : 20 Age : 31
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| Sujet: Re: Yuichi Sakimoto [Terminé] Mer 29 Oct - 1:35 | |
| Déjà merci à tous les trois xD <3 !
Yasu' t'inquietes pas, je ferais pas >< je m'abstiendrais éè je ferais dans les grandes lignes XD mais un tit peu quand même é____è Mais je suis inspiré c'est pas de ma faute faut te plaindre à mon cerveau ... ou à mes mains >.<! | |
| | | Yasunobu Matsukura
Nombre de messages : 149
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| Sujet: Re: Yuichi Sakimoto [Terminé] Mer 29 Oct - 1:37 | |
| NON Ton CERVEAU !! Je ne peux me plaindre de l'habilitée de tes mains... | |
| | | Aki Mitsuno Admin et Fondateur
Nombre de messages : 307 HUMEUR : Double Face LOVE : Chocolat =p CITATION : Itta!
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| Sujet: Re: Yuichi Sakimoto [Terminé] Mer 29 Oct - 1:46 | |
| Welcome coco ^^
J'adore le caractère de ton perso, hâte de lire le reste =) | |
| | | Daisuke Maeda
Nombre de messages : 257 Age : 34
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| Sujet: Re: Yuichi Sakimoto [Terminé] Mer 29 Oct - 2:26 | |
| Bienvenue ^^ amuse toi bien <3 | |
| | | Riiko Ishita
Nombre de messages : 330 Age : 31 HUMEUR : Pacific~ LOVE : Gone .. CITATION : 'Cause I Miss You When You Gone
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| | | | Yuichi Sakimoto
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| Sujet: Re: Yuichi Sakimoto [Terminé] Mer 29 Oct - 21:37 | |
| Histoire : - Spoiler:
Une porte s’ouvrit dans un grincement sonore, un homme avec un porte-document s’avança vers un jeune garçon. Une table semblait les séparer, et chacun se trouve aux extrémités, mais le support n’était pas grand alors, la distance n’était longue. L’homme s’installa, serrant la main du garçon qui avait l’air septique. Il avait le regard vide de toutes émotions. L’homme installait en bout de table feigna un sourire, et se mit enfin à parler, il fallait dire que c’était pesant cette atmosphère, c’était lourd mais c’était plus celui au porte-document que l’adolescent que cela semblait gêner, le môme lui, ben, il était juste la comme pour faire joli.
« Comment vas-tu aujourd’hui ? » « Ca va » répliqua le jeune homme sans grande conviction. « Tu te plais ici ? » demande l’homme. « Ché pas. » avec un ton toujours similaire. « Tu sais, on aurait besoins de ton aide pour justement … t’aider et j’aurais une chose à te proposer ! » Le jeune homme répondit par un simple signe de tête. « Est-ce que écrire ton histoire, ou raconter dans un « journal intime » ta vie, serait possible ? Ce serait ton ami, ton confident. Et ça nous aiderait. » « Ché pas » Pour ce le peu d’opinion qu’il avait de toutes manières. L’homme avança devant le nippon un cahier, accompagné d’un stylo sur le dessus. « Si tu pouvais y mettre un peu de volonté. Je suis désolé je dois te laisse, prend ton temps Hein mon garçon ! »
Il fallut bien patienter un quart d’heure avant que le gamin ne se mettre à griffonner sur la papier, mais une fois que c’était parti il ne pu s’arrêter…
« Ca me fait bizarre de devoir écrire ma vie. Et de la volonté ! C’est quoi la volonté au juste, j’ai jamais connu alors, ché pas trop ce que c’est, j’ai juste envie d’écrire. Comme j’ai jamais écrit d’histoire de ma vie ‘fin bon on verra bien. Je me présente cahier sur lequel j’écris et grâce auquel je me sens débile. Yuichi yes, Sakimoto too ! ‘Fin bref, d’après ma mère, ch’ui né du « fruit de son amour avec un autre homme » Mouais ! J’ai jamais connu mon père, j’ai connu que des femmes dans ma famille merdique, j’ai jamais compris comment elles faisaient pour avoir des gosses vu comme elles se comportaient avec moi. Enfin voila, il paraît selon ma mère que quand j’étais gosse, vers trois-quatre ans, j’étais un boule d’énergie ambulante, et que j’enquiquinais ma sœur à vouloir jouer avec, et qu’elle me repoussait toujours, en fait c’était comme ça avec toutes les dames de la famille. Bah à l’époque ce n’était pas important comme le fait qu’on n’était pas pleins aux as, voir même l’inverse, on vivait dans une maison qui n’allait pas tarder à se casser la gueule si une secousse trop forte se produisait. Je crois que mon plus vieux souvenir remonte quand j’avais huit ans et des poussières peut être plus jeune, ma sœur rentrait au collège, alors ouais sûrement un peu avant. Je me souviens d’une tante, alcoolique, qui passerait plusieurs semaines avec nous, accompagnées de ses deux filles, de vraies garces, six ans plus âgées que moi. Bon au début c’était marrant, ma frangine se sentirait sûrement moins seule, et personnellement j’étais tranquille comme elle faisait mumuse avec l’aînée. Par contre, ma tante, l’alcoolo, me collait constamment, elle me lançait des regards pervers qui voulait tout dire. Elle n’a jamais essayé de me toucher, par contre elle me prenait pour le larbin de service la vieille. « Va chercher ça, et ci et ça » ect… Jusqu’au jour où j’ai refusé, grosse erreur de ma part, surtout que depuis ce jour là elle était devenue mille fois pire avec moi, et me traiter de « rejet » à chaque fois que je passais devant elle. Certaines fois l’envie de l’étrangler pour qu’elle arrête me traverser l’esprit, mais je me retenais surtout qu’elle n’était jamais en bon état alors je ne faisais pas attention. Pourtant une fois, j’étais censé dormir, et j’ai, par mégarde, intercepté une discussion entre ma grand-mère, mère et tante. Ce n’était pas du joli et ça me concernait évidemment. Les deux vieilles crachaient leurs venins tel des serpents sur une proie inoffensive. J’avais toujours cru que oba-sama m’aimait bien. Quel imbécile j’ai pu être. Dans leur discussion j’étais surnommé le « rejet » tiens. Déjà que je n’étais plus tellement bavard alors là, mes lèvres ne frémissaient que dans de rares occasions. J’étais dégoûté, l’ancêtre me lançait des regards à faire peur, c’était la première fois que je remarquerais cette lueur destructrice dans ses yeux. Et je ne supportais pas ça puisque depuis leur débat tardif, les coups que me portait ma tante devenaient soudainement plus douloureux, et j’en pleurais tellement les coups étaient violents. Je n’ai toujours pas compris pourquoi je n’avais pas remarqué ça avant, peut être que j’avais un film sur les yeux qui m’empêchaient de voir la réalité. J’eu atteint dix ans un jour, j’étais le jouet persécuté de la famille Sakimoto, le seul « être différent » du coup on me traitait différemment parce que j’étais un homme, peut être qu’au fond je le méritais, ché pas. Car souvent j’entendais les râles de ma tante qui pleurait de tristesse à causes d’un homme qui l’avait largué plusieurs années auparavant et qui l’avait même rendu cocu, après tout ce n’était pas de ma faute mais elle se vengeait sur mon dos. Déjà que je me faisais frappé sous les rires de plaisir de ma grand-mère, ma mère avait du s’absenter pour son travail un long moment, j’étais sous la surveillance des deux harpies, avec ma sœur qui regardait de loin sans jamais me venir en aide et les deux autres cousines en rajoutaient une couche, en me prenant pour leur esclave. Je devais assouvir tous leurs désirs sinon j’étais « puni », c'est-à-dire que je me ferais encore rué de coups par l’alcoolo, alors même si ça me déplaisait pas mal, je me terrais dans un silence et obéissait tel un robot. Quelques fois leurs jeux en devenaient … pervers. Je les sens encore me toucher, ça me donne même envie de vomir, tellement ça me dégoûtait. Franchement, il fut un moment où je saturais, j’étais martyrisais, pris pour un jouet et je devais me taire, j’étais peut être un homme, quelques choses qu’elle haïssait mais j’avais autant le droit qu’elle de refuser un de leur choix. Encore un acte que j’eu à regretter amèrement, je crois que je suis entré dans la réalité de la vie à partir de ce moment. Je remarqua un sourire sadique mélangé à de la perversion sur le visage des deux vicieuses. Il était clair que je n’avais pas confiance, surtout lorsqu’elles m’emmenèrent dans un placard. Ma frangine n’avait pas daigné lever le petit doigt pour me venir en aide. J’étais comme la souris coincé dans les griffes de deux chats. Dans la pièce sombre elles débutèrent leur sauvagerie et personne ne vint à mon secours. C’était horrible, j’aurais préféré crever plutôt que de subit un tel affront car, après avoir fait ce qu’elles avaient à faire, c'est-à-dire me violer, elles me laissèrent nu. Plusieurs « monstres » de ma famille c’était attroupé près de la porte et m’observaient avec leurs yeux affamés. J’étais humilié, voir pire, j’étais souillé en plus de ça. Les deux diables n’avaient même pas de conscience sur le fait de commettre l’inceste. Ma rentra de son voyage le jour même et assista au spectacle mortifiant. Elle me tira d’ici pour me laver, elle je la laissais, car je savais que jamais elle ne me ferait de mal, même elle pleurait me serrait dans ses bras, me montrait de l’affection et s’excuser. Elle sortit une phrase qui m’avait marqué « Si j’avais su … j’aurais préféré que tu sois une fille ! » Elle avait ajouté que le fait que je sois un homme ne la gênait et qu’elle était même fière. Elle sortit de la salle de bain pour se disputer avec le reste des monstres, moi pendant ce temps, je me lavais, lavais, et encore lavais jusqu’à me sentir pur, mais ça ne venait pas. De plus j’étais vidé de toute envie, je me posais des questions, pourquoi moi ? Pourquoi pas un autre ? Pourquoi je devais souffrir ? Qu’est ce que j’avais fait pour mériter ça ? Bon après tout, c’était mérité sûrement, on ne puni pas une personne pour rien, non. C’était comme ça et puis c’est tout, j’avais beau réfléchir c’était toujours cette réflexion qui revenait, c’était de ma faute. Nous déménageâmes le lendemain, dans une ville au bord de l’eau. Je commençais déjà à ne plus supporter qu’une personne de sexe féminin ne me touche, ça me donnait la gerbe et que je me sentais presque à chaque de me nettoyer pour me sentir mieux. J’avais des flashs qui revenaient, et je ne supportais pas, comme le fait de me retrouver dans une pièce sombre et trop petite, j’étais claustrophobe, j’avais des tocs et de plus j’avais peur des femmes. L’école mixte, on n’y songeait même pas alors avec l’argent que ma génitrice avait empoché, je pu rejoindre une école pour garçon. Mais il fallait que par hasard, une seule et unique fille ne se retrouve dans cet établissement et dans ma classe. Et bien sûr elle me courrait après. J’ai bien cru que j’allais péter un câble, je me lavais les mains des centaines de fois par jours, les bras et tout. Et elle continuait de faire le chien. Alors même si ce choix fut terrible, je m’obligeai à discuter avec elle. Nous parlâmes, je lui expliquai le problème. Elle comprit mais avant même que je ne pus faire quoi que soit, elle colla ses lèvres contre les miennes, mon cœur se mit à battre à une vitesse hallucinante. Je la repoussai quelques secondes après, et me dirigea vers la salle de bain pour me laver le visage et encore une fois les mains. Ainsi débuta un nouvel enfer. Je ne pouvais pas me douter que je deviendrais de nouveau un pion. Surtout lors de la sortie annuelle, déjà qu’elle s’amusait à me faire tourner en bourrique, que je me posais toutes les questions existentielles possibles, j’étais harcelé par ma tante quand je sortais de l’internat pour aller en vacances, à me traiter de tous les noms avec ses deux filles, à me rappeler mon humiliation et me dire que je ne devrais pas exister, pourtant je n’ai songer à me suicider, ça ne m’a jamais traversé l’esprit. Et comme je n’avais pas vraiment d’amis, je ne connaissais toujours pas la joie, j’ai l’impression de n’avoir jamais connu ce sentiment. D’abord parce que je m’étais rendu compte de ce que c’était de tombé amoureux, c’est douloureux, c’est encore plus douloureux que l’humiliation. De la voir entouré de toute cette troupe de chacal en rut, j’avais envie de les défoncer, mais comme j’était un peu tout seul je pouvais rien faire. Je laissais simplement mon cœur se resserrait et me faire souffrir. Jamais je ne serai de le lui dire, alors que quelques mois auparavant je l’avais violemment repoussée. Et il fallait que je me reprenne, mais c’était la première à pénétrer mon cœur de cette manière, alors je me disais que je pouvais bien lui laisser une chance, bien sûr ma conscience rattraper cette idée. Rah j’en ai marre de penser. ‘Fin voila, on était dehors dans un camp, forcément le soir il caillait, et il fallait qu’elle se réchauffe, ouais mais les pulls ça existe alors pourquoi il fallait qu’elle aille se frotter aux autres fauves. Pourtant je voyais qu’elle me lançait des regards qui voulaient tout dire, mais je supportais pas ça quand même ! Ce fut une semaine horrible, j’avais souffert comme jamais, et je l’aimais encore plus, je devais être fou ! Parce qu’en revenant elle a recommencé à vraiment me tourner autour, on a même finis par s’embrasser ! Il fallait, il le fallait, je devais tout lui dire ! De A à Z, prenant mon courage à deux mains, je débutai et parti dans un monologue où ma langue fourcha une bonne dizaine de fois et où mon cœur avait raté plusieurs battements. Je finis essouffler, elle me regardait avec son sourire, toujours près de moi. Puis elle se mit à dialoguer, chaque mot était blessant à leur manière. J’étais son jouet, qu’elle s’était bien amusée, que j’avais mal compris les choses, que j’étais idiot d’avoir cru qu’elle pourrait avoir des sentiments à mon égard. Et vint la phrase la plus destructrice « Mais j’ai gagné mon pari grâce à toi ! Merci mon Chou’ ! » Je pris direction lavabo, ma pompe sanguine était encore plus douloureuse que tous les coups que j’ai pu recevoir ! Pourtant je ne détestais pas les femmes, j’avais encore en tête que c’était par ma faute, je méritais chaque châtiment. Je m’étais dit peut être qu’enfin je saurais ce que c’était le bonheur, nan. Je posais sans cesse la question à ma mère « A quoi ressemble le bonheur ? » elle me répondait toujours que je le saurais bien un jour. Et « A quoi ça sert de vivre ? » Celle-ci j’y répondais sans problème, à rien ! On naît pour mourir, on souffre en vivant, rien qu’un mouvement respiratoire faisait atrocement mal, mais je faisais avec, parce que les criminels doivent aussi vivre avec leurs crimes, je vivais avec mes peines, même si c’était pas simple. Oui, parce que c’était décidé je ne sortirais plus de la maison, j’avais seize ans. Je restais isoler dans ma chambre, à regarder la télé, à lire, prendre mes cours par correspondance, et je souffrais toujours au fond, je jouais les indifférent mais j’endurais encore cette souffrance morale que de n’être ici que pour être martyrisé par les femmes. Et comme je ne supportais plus leur contact avec moi et que j’avais de violentes crises d’angoisse, ma mère m’avait accordé le faite de rester isolé. Pourtant un an plus tard, j’étais encore dans ma déprime sans même penser à la tentative de suicide, je crèverais bien un jour. Ma mère me proposa une sortie, il n’y aurait que des hommes. Uniquement des hommes, j’acceptai, un peu d’air ça ne ferait pas de mal. Tout se passa à merveille, je ne souriais pas, je faisais parti de la décoration à coté du pot de fleur, on ne pouvait même pas faire la différence. On était en bord de mer. On toucha ma main, je sursautai, et je me retournai, je fis les yeux ronds, j’étais figé et sans le vouloir je la repoussai violemment. Nous étions sur un ponton près des bordures, elle tomba à l’eau. Un homme cria à l’aide, tandis que moi je restais pétrifié durant des secondes qui paraissaient de longues minutes. Je ne pu rester et couru vers le lavabo le plus proche, ouvrit le robinet et me lavait sans cesse les mains. Nous rentrions en vitesse. Ma mère et moi discutâmes longuement, elle me disait que c’était grave, la femme n’était pas morte mais ne savait pas nager. C’était de justesse. Elle me posa la question, et comme d’hab’ je répondis par un « Ché pas », elle en conclut que c’était oui. Je pliais bagage pour venir à Niban. Je me dis que ça doit servir à rien, ça ne changera jamais. C’est comme ça et puis c’est tout. J’ai uniquement accepté pour ma mère. J’espère que c’était intéressant maintenant je vais vous laisser. »
Le jeune homme referma le cahier et reposa le stylo mordiller. Faisant craquer ses doigts, il quitta la pièce. Celui fait maintenant un moi qu'il se trouve ici.
Simplement pour prévenir que j'ai terminé ma fiche et que l'histoire se trouve en spoiler ^-^ | |
| | | Aki Mitsuno Admin et Fondateur
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| Sujet: Re: Yuichi Sakimoto [Terminé] Mer 29 Oct - 21:47 | |
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