Queen B. goes by the name of Arielle D. Sullivan [TERMINÉ]

LE PERSONNAGE

Nom :

Sullivan

Prénom :

Arielle Desirea, mais elle utilise qu'Arielle.

Âge :

18 ans

Groupe :

Délinquant

Description Physique :

Elle a tout de la royauté, elle est digne d'excellence. Ses cheveux épais tombent en cascades sur ses épaulent et se rendent jusqu’à la moitié de son dos. Ces cheveux dorés aux boucles parfaites sautillent à chaque déhanchement que la jeune femme fait. Ces cheveux qui sentent la vanille, qui dégagent une odeur de gâteaux et qui donnent un appétit interminable. Ses cheveux si désirés, si enviés… Qui brille à l’éclat du soleil, tel de l’or qui brille dans l’eau. Ses yeux… Deux perles bleues qui nous font penser à l’océan. Se perdre dans l’immensité de l’océan que porte ses yeux. Ses yeux qui brillent de façon permanente, donnant un charme pratiquement irrésistible à sa majesté. De ses yeux on peut sentir son humeur… Un regard qui dégage une émotion réelle... La haine, la malice, le vice... Un regard qui parle, tel un livre ouvert mais qui, toutefois, garde une partie cachée de notre Reine… Un regard transparent, un regard frissonnant. On dit même qu’elle est mignonne lorsqu’elle fronce ses fins sourcils dorés, malgré sa colère, : sa crée de légères rides entre ses deux sourcils, ce qui rend Sullivan plus qu’adorable. Ses lèvres. Des lèvres pulpeuses, rosées naturellement. Des lèvres qui font naître la passion, des lèvres qui font naître l’amour. Des lèvres magiques, qui ne demandent que d’être embrassés par celui que son cœur choisit... Ou pas. Ses lèvres qui enivrent. Ces lèvres qui sont sans cesse animé par un sourire malicieux qui creuse deux légères pommettes à ses joues naturellement rosées. Son corps. Avec ses fines courbes délicieuses, ses courbes à la forme d’un sablier, ses courbes à en faire baver. Ses bras digne de délicatesse et ses jambes de ballerines ont été habitués de tourbillonner, de faire grâce à cette danse délicate et féminine. Un excès de poids? Aucun. Son corps est des plus jalousé, digne d’une poupée ou une mannequin… Ajoutez à cet être angélique une peau blanche, aussi blanche que de la porcelaine et aussi douce que de la soie et vous avez notre jolie Arielle Desirea Sullivan.

Caractère :

MAYUKO –

Dé.. Désolée Ari-Sama… Ça… Cela ne se reproduira plus, pro..promis…

Supplie une jeune femme de l’institut à laquelle Arielle Desirea Sullivan assiste. Cette fille, assise dans le coin de sa propre chambre, les jambes repliées sur son torse, les mains devant elle comme pour empêcher, enfin essayer d ‘empêcher, tout acte de brutalité qui peut se faire sur elle et qui serait causé par deux des suiveuses de notre Reine. Arielle regarde sa victime d’un air dégoûté. Un mouvement de mains et ses fidèles acolytes sortent de la chambre. Sa majesté porte son regard dédaigneux sur cette chambre peinturée de rose, digne d’une fillette de quatre ans, et porte son regard pulvérisant sur cette pauvre imbécile. Arielle s’approche, déhanchement après déhanchement et s’arrête. Elle se baisse pour être au même niveau pitoyable que cette jeune femme et hoche négativement la tête en poussant un profond soupire.

ARIELLE –

Dommage… Tu étais une de mes meilleures messagères, Mayuko. C’est triste qu’on en soit venu jusqu’à là. Écoutes, pour l’instant… Je fais comme si rien de cela ne s’est passé. Comme tu me connais, j’ai un grand cœur.

, dit-elle en forçant un sourire hypocrite. Elle s’avance à quelques pouces du visage de la jeune femme, la fusillant du regard..,

mais la prochaine fois que tu fouilles dans ma chambre dans le but de découvrir ce que je gardes sur toi, je ferais attention de rendre ta vie la plus misérable qu’il soit, je ne t’épargnerai pas une seule humiliation et où tu vas être, je serai présente pour te faire regretter chaque seconde que tu as passé sur cette terre. On se comprend?... Tant mieux.

, elle lui sourit comme on sourirait à un ami. Elle se lève et tourne ses talons en direction de la sortie mais s’arrête au seuil de la porte, jette un regard dégoûté sur la chambre et regarde la pauvre Mayuko.,

J’espère qu’on s’est comprises… Je ne voudrais pas que quelque chose de mal t’arrives.

Même si la plupart des gens vont qualifier mademoiselle Sullivan comme étant la fille la plus magnifique, la plus jolie, la plus intelligente de toutes, c’est très peu pour décrire son caractère. Peu de gens vous diront que c’est dû à un manque d’attention cruciale dans sa vie, un genre de cri « à l’aide ». Une rébellion contre ses parents. Par contre, ce n ‘est pas le cas. La dernière chose qu’Arielle désire c’est entretenir une relation avec sa dite mère et son dit père. Non, elle n’est pas ainsi pour demander de l’aide ni pour obtenir une affection qu’elle n’a jamais eue… Elle n’a pas toujours été délinquante, il fut un temps où Sullivan était une enfant calme, silencieuse… Mais cette période de temps se termine rapidement dû à un événement qui bouleversa sa vie au grand complet. Un événement qu’elle garde caché pour ne pas réveiller certains sentiments qu’elle préfère garder encore endormis. Arielle Desirea Sullivan est : Agressive. Plusieurs psychologues ont essayés de trouver la nature de cette agressivité chez la blondinette mais ne sont pas encore arrivés à une hypothèse potentiellement bonne. Par contre, la plupart du temps, ce n’est pas elle qui frappe… Ce sont ses fidèles acolytes qui font le travail pour elle. Ses mains sont beaucoup trop précieuses pour être si gravement blessées. Intolérante. Sa patience à une limite et cette limite n’excède pas quelques secondes d’où vient son côté Impatiente. Manipulatrice. Bah quoi? Quand elle veut quelque chose et qu’elle le veut peu importe la situation, elle va l’avoir. Que ce soit un garçon, un secret ou un objet, elle obtient toujours ce qu’elle veut d’une manière ou d’une autre. Têtue. Elle ne tolère que personne ne lui tienne tête, que personne ne refuse ce qu’elle demande et surtout, dire qu’elle a tord… Elle va toujours tourner la situation à son avantage. Tout pour ne pas blesser son égo. Narcissique. Elle s’aime. Elle aime comment les gens l’envient, elle aime comment les garçons bavent à chaque fois qu’elle passe… Et elle aime prendre soin d’elle pour rendre tout ça possible. Son image est ce qu’elle a de plus précieux. Elle est expressive, elle défend ce qu’elle juge qui a besoin d’être défendu. « Sois belle et tait toi » n’est pas une phrase qu’Arielle tient à cœur. Par contre, ne vous fiez pas aux apparences… Les apparences sont parfois trompeuses. Comme on dit « on ne juge pas un livre de son couvert ». Arielle cache une partie d’elle qui est si fragile, douce… Mais cette partie n’est pas prête à sortir… Et Arielle ne la laissera jamais sortir. À moins d’une bonne excuse. De toute façon, ça nuirait à sa réputation et Dieu seul sait à quel point Arielle tient à son image.

Histoire :

Relations :

Daisuke... Sullivan allait le visiter à chaque semaine après sa rupture avec une certaine Akane Shiroi.

Particularités:

À vous de les découvrire.

Avatar :

Blake Lively... Est-ce possible? =3 *Fais de beaux yeux.*

LE RPGISTE

Pseudo :

Vane

Âge :

19 ans

Mutli-Comptes :

Pour l'instant, nope! ^^

Votre impression du forum :

J'adore le contexte! Sinon je ne me serai jamais inscrite. (:

Quelque chose à améliorer, ajouter? :

Daisuke is hot. Et le forum n'a rien a améliorer, il est très bien comme ça! Good Job =3

Fréquence de connexion :

Ces temps-ci, dû à mon tournage (H) (Ahem..) ce serai de 5-6/7, par contre ce n'est que pour quelques petites semaines ^^. Sinon, je passes à tous les jours pour manifester mon amour. (L)

Kawaii ^^

Bienvenue =)

Bonne chance pour ta fiche ! ^^

Welcome ^^

Tant que ton histoire dit pourquoi ton perso est dans un centre japonais, il n'y a pas de problème à ce qu'il soit étranger =)

Han ma garce, mon Ursula <3 Bienvenue !

MMh
1 - Bienvenue
2 - Daidai on parle pas des gens comme ça
3 - Si tu touches à mon Daidai je te tue, est-ce clair ?
(6)

Histoire

PROLOGUE

DESIREA –

Je suis enceinte.

EDWARD –

Impossible.

DESIREA –

Qu.. Quoi? Mais si ce l’est ! J’ai même le test pour le prou—

EDWARD –

Ce n’est pas de moi.

DESIREA -

… Pardon?! Tu es mon mari! Oui c’est de toi!

EDWARD –

Cet enfant que tu portes n’est pas mien… Jamais je ne l’aimerais, jamais j’en prendrais soin. Occupes-toi avec tes problèmes qui ne sont pas les miens.

Ce n’était pas toujours comme ça. Il fut une époque où Desirea Cooper Sullivan (oui, elle a gardé son nom de petite fille) et Edward Sullivan s’aimaient inconditionnellement. Mais tout à changer lorsqu’Edward soupçonnait sa femme d’adultère avec son collègue : Franz. Un bel allemand venu directement de Berlin pour une formation à New York. Qui d’autre pour le former que l’adorable Desirea? Par contre, rien ne se passe entre Franz et Desirea, tout était le fruit de l’imagination de monsieur Sullivan. Sa paranoïa devient tellement intense qu’il a commencer à filmer chaque petite seconde qui se déroulait entre Franz et Desirea, jusqu’au point de créer un dossier sur le jeune homme, le suivre partout, suivre sa femme lorsqu’elle quittait la maison, etc. Une caméra a été installée dans leur chambre à coucher, juste au cas où quelque chose de pas catholique se produirait entre Franz et Desirea… Mais rien. Pas un seul bec, pas une seule caresse… Neuf mois plus tard vient le petit rayon de soleil. Le petit être si attendu et aimé de tous. La princesse, l’aimée, l’adorée… : Arielle Desirea. Mais même si Arielle avait les mêmes traits que sa mère, le père n’était pas convaincu qu’il était son père… Enfin, Edward n’a jamais eu cet attachement face à Arielle. Il a toujours dit qu’elle était l’enfant de la luxure, l’enfant du péché. Ce qu’il ignore c’est que cet enfant a été conçu avec amour, passion… Entre lui et Desirea, la mère. Jamais il ne donnera cet affection, jamais il ne donnera cet amour qu’Arielle a tant besoin.. C’est à peine s’il la regarde.

12 Juillet 1995

EDWARD –

Cache-le…! Non, pas là! Encore vers la droite… vite, quelqu’un va nous voir.

CLAIRE –

Hé-ho? Je ne peux pas traîner ça toute seule! C’est bien trop lourd! Aide-moi donc!

EDWARD –

T’aider? Non, ils vont tracer mes empreintes digitales sur le corps. Je ne peux pas.

CLAIRE –

Pardon? Tes empreintes ainsi que les miennes sont partout sur ce corps, Edward. Alors si tu vas en prison, c’est fort probable que j’y aie aussi!

EDWARD –

Tu te rends quand même compte qu’on a tué ma femme, Claire? Je ne peux pas t’aider! Je ne peux pas être un criminel!

CLAIRE –

Tu l’es déjà, Sullivan.

Cachée derrière un énorme buisson, le corps tremblant de froid et entièrement mouillé dû à la pluie abondante qui tombe, Arielle Desirea est debout, assistant au crime que son père et sa copine ont commis. Les yeux grands ouverts, elle reste silencieuse pour ne pas crier de peur en voyant cette scène blessante. Son père et sa mère étaient ensemble depuis quatre ans avant d’avoir leur fille. Lui, un médecin, elle, une avocate, s’aimaient plus que tout. Jusqu’à ce que Claire, une assistante de monsieur Sullivan, entre dans le décor. Depuis, tout a changé. Le plan était de blesser madame Sullivan au point de la faire hospitaliser… Pas de la tuer. Alors pouvez-vous comprendre à quel point Edward Sullivan était ébahi lorsque le corps de sa si belle femme était inanimé et ce, dû à ses coups et aux coups de son amante? Ce n’est pas une scène pour un enfant de cinq ans… Surtout si cet enfant regarde l’enterrement illégal de sa mère. Prise de panique, elle court en direction de la porte d’entrée. Une fois à l’intérieur, ses petites jambes la transportent rapidement jusqu’à sa chambre et elle ferme la porte, la barrant. Elle est si déçue que les larmes refusent de couler. Elle est si choquée que la colère refuse de se manifester. Elle est si enragée que la violence refuse de se montrer. Elle reste assise, au coin de sa chambre, dans l’ombre… Ses deux petites jambes collés contre sa poitrine et elle se berce d’avant.. Arrière… Fixant sans cesse un point invisible dans sa chambre. Plusieurs diront que c’est le début d’un traumatisme psychologique… Mais ce n’est pas le cas… Sinon elle ne serait plus de notre monde.

16 Décembre 1998

EDWARD –

Je suis désolé, trésor… Peut-être que tes amis n’ont pas pu venir car ils avaient—

ARIELLE –

Quelque chose de plus important?

EDWARD –

Je ne veux pas que tu sois triste pour ça, Desirea.

ARIELLE -

… C’est Arielle. Depuis le temps que je te dis d’arrêter de m’appeler par ce nom-là…

CLAIRE –

Laisses-lui le temps, Edward… Elle doit être vraiment triste que—

ARIELLE –

Est-ce que je t’ai parler, toi? Non. Alors ne prend pas ma défense, je n’ai pas besoin de toi et ta pitié. Et au cas où tu ne le savais pas, je suis ici dans la salle alors ne parle pas de moi à la troisième personne. Tu peux me parler en face.

CLAIRE –

Pour un enfant de huit ans, tu as la langue plutôt—

ARIELLE –

Plutôt quoi?!... C’est ce que je pensais.

Un dernier regard à son père et sa belle-mère et la fêtée quitte la pièce d’un pas rapide. Où va-t-elle? À l’endroit qu’elle surnomme « Sa forteresse de solitude »… Un château que son père lui a construit pour son quatrième anniversaire. Elle y retrouve silence, comme si la tempête s’est arrêtée. Son simple paradis. La petite poupée est assise en plein milieu d’une pièce au château – on s’entend que le château est une petite maison – et fixe un point invisible, les sourcils adorablement froncés. De par son allure, on croirait une jolie poupée de porcelaine, avec ses cheveux si soigneusement bouclés, cette robe bouffante de couleur blanche, ses souliers noirs luisants, brillants… Ces gants blancs si délicatement mis sur ses mains frêles et pour ponctuer le tout, un joli petit ruban noir attaché en nœud papillon sur le coin de sa jolie tête blondinette. Bon, vous devez vous dire que c’est impossible pour un enfant de huit ans de parler avec autant d’intelligence. Arielle n’a jamais été aux écoles « normales » pour les enfants de son âge. Elle a toujours été un pas en avant de tous ses autres camarades de classe alors ils ont dû la faire augmenter d’un niveau, voilà pourquoi son vocabulaire est si avancé à un si jeune âge. Enfin. Elle retire ses gants brusquement de ses mains et les lances de toutes ses forces le plus loin qu’elle le peut. Enragée, elle ne trouve même pas le moyen de s’exprimer comme il le faudrait. Elle reste silencieuse, les sourcils froncés, les yeux fixant un point invisible du château. Elle a envie de crier, de dire au monde entier qu’elle était là au meurtre de sa mère! Que le meurtrier de sa mère est son père. Mais c’est impossible.. Qui croirait une fille de huit ans au lieu d’un médecin réputé?... Mais comme on dit : « La vérité sort de la bouche des enfants. ».

27 Janvier 2007

DIRECTEUR –

Ton attitude me dérange, mademoiselle Sullivan.

ARIELLE –

Ah bon? Et tu crois sérieusement que j’en ai quelque chose à faire que mon attitude te dérange, monsieur le directeur?

DIRECTEUR –

Je ne vois aucune amélioration.

ARIELLE –

Ah.. Tu t’attendais à une amélioration de ma part? Vraiment pathétique. Sérieusement, tu as trop d’espoir pour rien.. C’est presque mignon.

DIRECTEUR –

Cesse tes conneries, Sullivan. Parles-moi dont de l’incident de ce matin. C’est ce qui m’intéresse.. Pas tes commentaires idiots.

ARIELLE –

Ce matin?... Mais de qu--.. Ah… Ça. En tout cas, elle l’a cherché. Elle savait qu’elle ne s’en sortirait jamais aussi facilement.

DIRECTEUR –

Peux-tu être plus claire?

ARIELLE -

… Non. Alors c’est tout?... Je peux partir? Car j’ai un cours à sécher et je ne veux pas être en retard.

DIRECTEUR –

Sullivan si tu quittes cet établissement, tu seras exclue de l’académie.

ARIELLE –

Penses-tu sérieusement que ton académie « prestigieuse » peut m’arrêter? T’es drôle.

Arielle se lève, prend son sac à main et quitte la classe. Faisant attention pour que tout le monde l’entende, elle se tourne face au directeur –qui est maintenant debout - et le regarde avec ses sourcils adorablement froncés. Elle ferme son manteau et prend un air terrifié. Quelle bonne actrice…

ARIELLE –

Soyez certain monsieur Simmons que je contacterai le conseil scolaire pour ce que vous m’avez fait… Des avances sur une mineure!! Vous devriez avoir honte !!

Elle sort presqu’en courant de l’administration, versant quelques fausses larmes et finalement, une fois sortie, un sourire malicieux orne ses lèvres alors qu’elle sort tranquillement de l’établissement. Ce n’était pas la première fois qu’Arielle se faisait exclure d’une école. Cela s’est produit tellement de fois que son père n’arrive plus à les compter.. N’arrive même plus à se souvenir quand est-ce que c’était la première fois que cela s’est produit. Et pour quelle raison? Toujours la même chose. Son Attitude. Faut dire que mademoiselle Sullivan n’est pas des filles les plus gênée et réservée. Au contraire. Mais qu’est-ce qu’elle s’en fiche de l’école! Elle n’a pas de temps à perdre. Surtout qu’elle ne sait absolument pas quoi faire de son avenir. Fonder une famille? Tomber amoureuse? Très peu pour elle, merci. Cette question de « Que vas-tu faire de ton avenir, Arielle? » est toujours sur les lèvres de son père mais la concernée ne semble pas avoir intérêt à se bâtir un avenir autre que les fêtes et la délinquance. Nous n’avons qu’une seule vie, non? Alors on doit en profiter!

(Suite)

15 Juin 2007

SAMUEL –

Ça fait quand même longtemps qu’on est ensemble.

ARIELLE –

Et alors?

SAMUEL –

Tu n’as qu’à me dire ces deux mots… Pour me garder, Arielle. C’est simple! Deux mots.

Eh oui, il fallait un peu d’amour dans l’histoire. Bref. Elle l’aimait. Oui. Probablement son premier et dernier amour, aussi. Mais elle n’arrivait pas à lui dire deux mots simples : Je t’aime. Elle se trouve bloquée… Elle se trouve collée à un mur, un cul-de-sac dans lequel on ne peut faire demi-tour. Pourquoi n’arrive-t-elle pas à lui dire ces deux mots? Ces deux mots qui expriment enfin les sentiments qu’elle a pour lui, toute cette affection, cet amour, cette passion? Elle n’arrive même pas à parler.. Elle bloque. Ses yeux bleus fixés sur les yeux verts de son petit ami, elle ouvre la bouche mais rien ne semble sortir.

ARIELLE –

Je…Je…

Rien. Elle est fouttue. C’est la fin. Elle baisse les yeux puis prend une grande respiration. Ses doigts jouant après le tissus de sa jupe, elle réfléchis à comment elle peut rendre cette situation encore plus humiliante que ce qu’elle est. Elle a vécu les six derniers mois les plus merveilleux de son existence aux côtés de Samuel mais même à ça, elle n’arrive pas à lui dire comment elle se sent. Elle se souvient qui elle est, qui elle est destinée d’être et elle porte son regard sur lui, l’air plutôt hautaine. Une main dans ses cheveux d’or pour les éloignés de son visage et elle pousse un profond soupire… Un soupire qui frôle l’ennui. Elle se connaît.. Tout ça est un acte pour l’éloigner d’elle, pour ne pas qu’il s’attache autant qu’elle est attachée.

ARIELLE –

Je.. Ne te dirais jamais ces deux mots que tu attends de moi, Samuel.

« Comment briser un cœur », par Arielle Sullivan. Ne voyant plus l’utilité de sa présence, elle se lève, le cœur en mille morceaux, et quitte les lieux. Pourquoi est-elle si stupide?!! Le garçon que tu aimes intensément te demande de lui dire que tu l’aimes et toi, pauvre cruche, tu lui dis que c’est impossible?! Non mais ça va pas?! Faut croire que cette rupture atteint Arielle comme un poignard droit au cœur. Faut dire que la seule chose qui peut calmer miss Sullivan est… l’amour. Mais c’est rare qu’elle tombe follement amoureuse de quelqu’un au point de changer. Toutefois, même si cette rupture l’affecte plus que la normale, pour elle, elle reste impassible. Elle ne montre aucun signe de faiblesse. « Pleurer, c’est pour les faibles. », se consolait-elle souvent lorsque cet envie de pleurer lui vient. Elle n’aime pas être caractérisée de « faible » puisque c’est une chose qu’elle n’est pas. Depuis cette rupture, elle n’ose pas tomber en amour, une excuse de plus pour montrer le côté d’elle qu’elle tente désespérément de garder caché.

24 Décembre 2007

ARIELLE -

…C’est quoi ça?

CLAIRE –

Un billet d’avion.

ARIELLE –

Oh toi et la perspicacité, hein. Non, espèce de cruche. C’est une excuse pour m’éloigner. N’est-ce pas, papa adoré?

EDWARD –

Arielle on a tout fait pour—

ARIELLE –

Tout fait pour quoi?! Pour me changer?! Tu penses que vivre au Japon va me changer?

EDWARD –

Il y a un centre là-bas pour les gens comme toi.

ARIELLE –

Ahhhh… Tu me catégorises maintenant. Non mais… Je n’ai pas besoin d’être dans un centre! J’y vais pas.

EDWARD –

Même si tu essaies tout pour rester… Tu y vas. Tes valises sont déjà prêtes et ton vol est prévu pour demain.

ARIELLE –

De.. Demain?! Quoi?! Non j’y va—

EDWARD –

Tu y vas, point final. Joyeux noël, Arielle.

Et en 24 heures, elle arrive au Japon. Tu parles d’un noël, toi. Le côté positif dans tout ça c’est qu’elle ne verrait plus jamais son père et sa belle-mère. Le côté négatif?... Elle doit recommencer ce qu’elle a créé à New York…: Sa réputation. Quoique, arriver dans un établissement où tu es aimé de tous, c’est quand même très bien. Elle fait de belles rencontres telles que ses fidèles acolytes qu’elle aime beaucoup, même si des fois ça ne paraît pas. Elle rencontre Daisuke dans ses moments les plus vulnérables. Quoique… Il ne paraissait pas SI vulnérable que ça. Elle est admirée de tous, elle est aimée de tous et en même temps enviée de tous. Même si elle déteste cet endroit, elle est la reine et elle ne le voudrait pas autrement.

[Merci pour l'accueil! <3... Et non, Akane.. Je ne te volerai pas Daisuke XD Aha!!
Désolé pour le deuxième post! Trop long pour mettre en un seul post! Voilà! I'm finished! (:]

Présentation Validée

Bienvenue et bon jeu

Merciii !! <3

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