Sakura Ayame (Terminé)

Sakura aurait aimée être plus petite perdre au moins dix centimètres et ainsi pouvoir se faufiler sans que personne ne la remarque, mais elle continue à essayer de se dire pour se consoler que, un mètre soixante-six n'est pas si grand. La jeune nippone aime beaucoup ses longs cheveux noirs, elle prend souvent un grand plaisir à les coiffer le matin, mais les attaches très rarement. Deux petits yeux noirs semblent avoir été posée délicatement sur sa peau qui est légèrement pâle, son regard est toujours très expressives et il est facile de savoir ce que ressent la nippone rien qu'en observant attentivement son regard. Au milieu de son joli petit minois un petit nez y trône et juste en dessous deux fines lèvres qui affichent parfois un joli petit sourire ou alors qui suivent les moments de stress et d'angoisse de la jeune fille et parfois se font mordiller par ses petites dents blanches.

La jeune Sakura est assez fine, même si elle cache quelques petites rondeurs qui se font discrète, elle aime beaucoup porter des robes ou des jupes, mais ce n'est pas pour autant qu'elle n'est jamais en pantalon. Ses vêtements sont souvent de couleur discrète, donc assez sombre, mais sans donner un petit aire triste juste assez pour rester discrète et se faufiler dans la masse sans qu'on la remarque.

Timide, oui elle est et sa maladie n'arrange surement pas la chose, mais espérant pouvoir en guérir elle essaye de créer des liens avec des gens même si parfois c'est comme une mission impossible à réaliser. Très renfermer sur elle-même, la jeune nippone à du mal à s'ouvrir et échange très rarement des mots avec les autres. Sakura observe parfois les autres adolescents d'une fenêtre ou assez loin pour que ceux si ne la remarque pas, elle essaye d'en savoir un peu plus sur eux. Elle à aussi du mal à supporter le regard des autres sur elle, peur qu'on la juge ou qu'on dit des choses sur elle, la jeune fille évitera les endroits trop bombés de monde et préféra sortir sa petite frimousse pendant les heures creuses.

Aussi, parfois sa sensibilité pourra lui faire défaut, Sakura à du mal à voir les autres tristes et aimerait faire quelques choses pour les aider, mais n'arrivant pas allez vers ces personnes la nippone pourra parfois se sentir coupable de ne pas pouvoir se rendre utile. Alors, elle murmura toute seule dans son coin des petits mots doux et rassurant, mais bien sûr la personne qui sera concernée n'entendra jamais ces mots.

C'est une personne aussi qui est facilement angoissée, surtout quand elle est entourée de beaucoup de mondes, alors des petits tics nerveux commenceront à apparaître. Ils peuvent se manifester par un mouvement de la tête non contrôler, des yeux qui clignent facilement et il y en a bien d'autres.

Cette d'une demoiselle très calme, qui ne vous dérangera jamais, quand elle n'est pas prise par la peur ou l'anxiété que peut lui apporter son entourage, c'est dans des moments de solitude que son visage sera calme et serein ou son esprit rêveur pourra se balader tranquillement et laisser cour à son imagination, qui sera ensuite dessiner ou peint sur un papier blanc.

Même si son agoraphobie, l'empêche de tisser des liens, cela ne l'empêche pas d'avoir envie d'aller vers les autres et de se battre contre sa maladie. On peut dire que la jeune fille à un petit côté battant qui reste encore assez discret.

Dix-sept ans déjà que la gentille et timide Sakura est née, sa naissance fut comme l'arrivée d'un nouveau bonheur pour ses parents. Ses premiers pleures les avaient montés dans un grade de bonheur que peu de personnes arrivent à atteindre. Un univers chaleureux et remplit de douceur attendait la petite Sakura, déjà bien avant sa naissance, sa chambre était prête peinte dans des couleurs claires presque pastel, des peluches dans chaque recoin de la pièce... Les parents Ayame n'était pas des milliadères et avaient un revenu modeste, mais rien n'était comparable à l'arrivée du petit bébé.

Dès son plus jeune âge Sakura comblait ses parents, sa mère avait décidée d'arrêter le travail pour s'occuper pleinement de sa petite Sakura et son père quant à lui continuait à ramener l'argent à la maison. Il trouvait leur petite fille si parfaite, déjà très calme, la petite nippone était très peu bruyante. Quand ses parents se rendaient chez des amis, la petite ne bougeait toujours pas cacher derrière sa mère ou son père, parfois les gens pouvaient la combler de compliments, le si peu de paroles qui sortaient de sa bouche était « Agrigato » ou bien les formules de politesse, mais rien d'autre. Cela n'inquiétait pas ses parents, elle était encore petite et elle était juste un peu timide.

A l'âge ou tout enfant normalement constitué vont à l'école, Sakura ne s'ouvrait toujours pas, elle avait sans doute trop été couvée par ses parents et avait réellement du mal à s'intégrer. Les autres enfants ne lui prêtaient guère attention, pour eux c'était la gentille petite fille qui donnait toujours son goûté aux autres ou qui prêtait gentiment ses crayons de couleurs sans bronché. Bon même si certains se servaient sans rien dire, la petite nippone ne disait mots. Toujours dans son coin pendant les récréations, pendant que les autres enfants riaient et jouaient. Le seul moment ou Sakura semblait « vivre » était l'heure des parents, courant dans les bras de sa mère pour ensuite se cacher derrière ses jupes. Les Ayame ne s'inquiétaient toujours pas, elle était encore jeune et avait le temps pour s'intégrer avec les autres enfants, mais ce n'était pas l'avis des professeurs.

Pour finir les autres enfants commencèrent à se moquer d'elle, en lui donnant des surnoms un peu mesquins, mais c'était juste entre gamins, rien de bien méchant... Mais la petite Sakura prenait ses moqueries souvent à coeur et sanglotait facilement, qui faisait le plaisir de certains, mais pour d'autre cela les mettait mal à l'aise. Ces parents lui expliquèrent simplement que les autres enfants voulaient attirer son attention et qu'ils voulaient être amis avec elle, alors Sakura essaya d'aller vers les autres... Mais à chaque fois une petite boule se formait dans sa petite gorge, à l'époque elle l'avait nommée petite boule de coton.

...

L'âge du collège arriva et pour tout vous dire Sakura avait eu du mal à se lever pour se rencontrer, elle n'avait pas dormi la nuit, son corps et son cerveau semblait s'être détaché, elle avait transpiré toute la nuit des bouffé de chaleurs étaient venus la hantée toute la nuit et vers la fin des larmes chaudes étaient venu couler sur ses jouent. Ce matin-là son seul désire était de s'enfermer dans sa chambre. Pendant les vacances, elle n'avait vu quasiment personne, sauf les gens de sa famille, mais elle était restée avec eux qu'une courte durée à chaque fois...

Le collège était si grand, des adolescents qui grouillaient dans tous les coins, son coeur ce jour-là ne lui avait jamais fait aussi mal, s'il aurait pu sortir de sa poitrine il l'aurait fait. Sa classe, les élèves, les professeurs tous elle voulait qu'ils disparaissent, elle voulait fuir dès le premier jour.

Elle resta à peine trois jours au collège, le quatrième elle s'était enfermée à double tour dans sa chambre. Ses parents ne comprenaient pas sa réaction déplacée, Sakura ne c'était pas expliquée. Son enfermement dura à peine deux jours, l'école avait téléphoné... Il souhaitait la rencontrer en personne ainsi que ses parents y étaient conviés. Malgré son âge avancé, elle arriva aux portes du collège tenant la jupe de sa mère, la tête baissée et avec un silence de roi elle les suivie. Sakura ne pourra jamais vous dire s'il y avait eu du monde ou non.

Le tête-à-tête avec son professeur principal fut horrible, Sakura s'expliqua avec un mal fou et le rendez-vous se cloutera avec un conseil qui la fit tomber de haut, son professeur lui conseillait d'allez voir un psychologue.

Ses parents voulant son bonheur et sa réussite professionnel, ils prirent un rendez-vous avec un psychologue pour adolescent de ce pas. Consultation qui avait été un désastre pour Sakura, il lui avait conseillé de soigner le mal par le mal. C'est-à-dire se confronter à ses peurs, se plonger dans la foule, se rendre dans des endroits inconnus. Et sa mère qui n'en pouvait plus de voir sa fille ainsi, s'empressa de l'emmener dans une galerie marchande, pour lui acheter quelques affaires. Mais se fut le pompon pour l'adolescente, la voilà emprise d'une crise de panique. Sakura ne s'était jamais senti aussi mal son palpitant jouait des siennes, ses muscles se crispaient, quelques tics nerveux firent leurs apparitions et elle avait l'impression que toute sa vie lui défilait sous ses yeux. La pauvre mère ne savait plus quoi faire, elle parlait à sa fille, mais celle-ci semblait complètement à coter de ses sandales...Pour finir avec l'aide d'un inconnu sa mère prit sa fille pour l'emmener dans un coin où il n'y avait pas un chat. Sakura reprit doucement ses esprits et se jeta dans les bras de sa mère pour trouver un peu de chaleur.

Elle se força à aller au collège, ses pendants ses années que Sakura se mit au dessein, cela lui permettait d'exprimait ses émotions et trouvait facilement un coin tranquille dans la bibliothèque pour laisser cours à son imagination et à ses sentiments. Certains élèves essayaient de nouer le contact avec elle, mais Sakura n'arrivait pas à parler, il venait pour la plupart en masse tout autour d'elle et d'autre en profitait pour la rabaisser. Ce qui n'ait pas la jeune fille à s'ouvrir.

Dans tous les élèves de sa classe, il y avait qu'une seule personne avec qui elle arrivait à parler, bon d'accord ce n'était pas de long discoure, mais c'était déjà ça. Mais malheureusement Sakura était une proie facile, certains en profitaient à lui faire des coups bas. Au début ce n'était que des vols de cartable, suite à cela elle ne venait pas en cour pendant quelques jours voir quelques semaines. Bien que les professeurs avaient réduits le nombre d'élèves dans la classe de Sakura pour l'aider à s'adapter cela n'empêchait pas les autres à être méchant, à part la jeune fille avec qui elle arrivait à parler. Mais un jour comme les autres, Sakura ne se doutait pas que c'était son dernier jour de cours, on l'humilia en public et la même crise qui c'était produite par le passé arriva comme une charge d'éléphant, heureusement pour elle son amie arriva pour la sortir de son gouffre avec l'aide de quelques professeurs.

Elle suivie pendant plus deux ans des cours par correspondance, son professeur particulier était très patient avec elle et lui donnait parfois des cours de dessins et même de peinture. Son niveau augmenta pendant ses deux années, ses crayonnages ressemblaient de plus en plus à quelques choses...

« Comment vivre normalement ainsi ? » C'était la question qui revenait sans cesse hanter, l'esprit de Sakura, à 17 ans elle n'avait aucun ami, elle avait perdus contact avec cette fille.

Un jour elle eut une longue discussion avec ses parents, ils étaient tous les trois d'accord qu'elle devait « guérir et s'ouvrir au monde », mais cela n'allait pas être chose facile la jeune fille en était consciente, mais elle avait envie de guérir. Alors, l'établissement « Niban'me Chan'su » est sans doute la lueur d'espoir pour Sakura.

Ayako Kitano : C'est avec elle que Sakura partage sa chambre, cela fait déjà quatre mois qu'elle a fait sa rencontre et s'entend vraiment bien avec sa camarade. C'est une fille gentille et douce, le genre de personne qui lui convenait pour être sa co-chambreuse. C'est surement avec Ayako qu'elle est le plus à l'aise.

Kiyosuke Sawada : C'est un garçon remplit par la joie de vivre, elle le représente souvent avec un grand sourire innocent et remplit de vie. Même si elle reste quelque peu réservée avec lui, Sakura ne regrette pas de le connaitre et elle aime bien l'observer quand il est avec les autres, le trouvant très chaleureux avec ses camarades.

Sakura souffre d'agoraphobie, elle est venue au centre avec l'espoir de pouvoir vaincre sa maladie, même s'il y a encore beaucoup de travail. Sa timidité est très marquée chez la jeune fille au premier coup d'oeil on remarque toute suite qu'elle est réservée et facile à déstabiliser.

La nippone dessine beaucoup les émotions qu'elle ressent, ne pouvant pas les exprimer, le graphisme l'aide à se sentir un peu plus libre. Aussi elle aime beaucoup observer les autres adolescents, pour connaitre les personnalités de chacun et ainsi éviter certaines personnes qui pourraient la mettre dans tous ses états...

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